Le temps n'a pas d'emprise sur l'amitié.

"Dans le doux halo du crépuscule, ces visages souriants nous rappellent la beauté intemporelle de l'amitié. Comme les rayons d'un soleil couchant, les vraies amitiés éclairent notre vie, réchauffent nos cœurs et nous rapprochent, peu importe les années qui passent ou les distances qui nous séparent. Chaque moment partagé est un fil précieux ajouté à la tapisserie de notre existence. L'amitié véritable, c'est cette force tranquille qui, face aux vagues incessantes du changement, reste notre ancre, notre havre de paix."

 

"Le principe 3 C (Créer, Croître et Croire) pour une vie plus saine et un monde meilleur"

 

Au sommet de La Soufrière en Guadeloupe au mois de janvier 2024 avec mon beau-frère Daniel (alias Tintin).1467 mètres en 2 heures et 15 avec la grippe, j'ai trouvé la route parfois abrupte et brumeuse, mais une fois accompli, on est fier de l'avoir fait.

Dans un monde qui semble parfois dominé par la précipitation, le stress et les divisions, se tourner vers les principes de Créer, Croître et Croire peut offrir une boussole précieuse pour ceux qui cherchent à vivre une vie plus saine et à contribuer positivement à la société. Ces trois principes ne sont pas seulement des concepts abstraits, mais des actions concrètes que nous pouvons prendre pour améliorer notre bien-être personnel et avoir un impact significatif autour de nous. Voyons comment ces principes peuvent nous guider vers une existence plus épanouissante et un monde meilleur.

1. Créer : L'Art de la Positivité

La création est une force puissante qui permet non seulement d'exprimer des idées et des émotions, mais aussi de transformer notre environnement. Que ce soit par l'art, la musique, l'écriture ou l'innovation, créer est un moyen de canaliser les énergies positives et de partager ces vibrations avec les autres. En créant, nous libérons notre esprit des tensions et du stress quotidien, nous offrons du beau au monde et encourageons les autres à faire de même. C'est une voie vers une vie plus riche et plus satisfaisante qui inspire la joie et la santé mentale.

2. Croître : L'Évolution Personnelle

Croître est synonyme de développement personnel continu. En nous engageant dans l'apprentissage permanent, la remise en question et l'amélioration de soi, nous cultivons une santé mentale et physique robuste. La croissance personnelle implique de se fixer des objectifs de vie sains, d'adopter des habitudes bénéfiques et de chercher constamment à être la meilleure version de soi-même. Ce faisant, nous contribuons non seulement à notre bien-être, mais aussi à celui de notre communauté, en devenant des exemples de résilience et de proactivité.

3. Croire : La Force de la Conviction

Croire va au-delà de la foi spirituelle ou religieuse. C'est croire en nos idéaux, en notre potentiel, et en la capacité du collectif à surmonter les défis. Une croyance forte en des valeurs positives peut ancrer nos actions dans un sens plus profond et nous motiver à persévérer malgré les obstacles. En maintenant une attitude optimiste et en ayant confiance en la possibilité d'un avenir meilleur, nous renforçons notre santé émotionnelle et encourageons ceux autour de nous à adopter une perspective plus positive.

Synthèse : Un Mode de Vie Intégré

En intégrant activement les principes de Créer, Croître et Croire dans notre quotidien, nous adoptons un mode de vie qui favorise non seulement la santé personnelle, mais contribue également à la santé collective. Chaque création partagée, chaque pas dans notre croissance personnelle et chaque croyance affirmée dans le bien commun sont autant de pierres qui construisent un monde meilleur.

Ce blogue est un appel à tous ceux qui aspirent à vivre une vie plus saine et à ceux qui rêvent d'un monde où chaque individu peut s'épanouir. Ensemble, en adoptant ces trois principes, nous pouvons transformer notre réalité personnelle et collective, faisant de notre monde un endroit plus heureux, plus sain et plus harmonieux.

De l'apprentissage à l'abandon ( Réflexion après 2 ans et 5 mois de retraite)

 La vie, une trilogie de phases distinctes, offre à chacun des défis uniques et des opportunités d'évolution. Nous commençons par l'apprentissage, où nous sommes couvés et guidés à travers nos premiers pas dans le monde. Cette phase est essentielle, car elle pose les fondations de qui nous deviendrons. Ensuite, nous entrons dans la phase d'exécution, où nous appliquons ce que nous avons appris, souvent jugés par nos pairs et par nous-mêmes, un moment de réalisation active de nos aspirations et objectifs.

Mais c'est dans la troisième phase, celle de l'abandon, que j'ai trouvé une profondeur inattendue. Depuis ma retraite le 1er décembre 2021, je navigue à travers cette phase avec une curiosité renouvelée. J'ai découvert qu'il s'agit moins de renoncement que de libération. Libération des attentes, des jugements et de l'intensité de la vie professionnelle.

À la retraite, le travail ne dicte plus mon rythme. Avant, je compartimentais scrupuleusement mon temps — 72 heures de travail hebdomadaires, des rencontres amicales une ou deux fois par semaine, des moments familiaux précieux. Chaque segment de ma vie était soigneusement alloué et géré. Aujourd'hui, je me laisse guider par la spontanéité et l'authenticité. Les chaînes de l'apprentissage et de l'exécution s'évanouissent, faisant place à un épanouissement dans l'abandon.

Cette nouvelle étape est marquée non seulement par une tranquillité d'esprit, mais aussi par un enrichissement à travers des activités qui me passionnent : l'écriture, la musique, les sorties culturelles, les activités physiques, les discussions entre amis, et les voyages. Chaque chanson que je crée, chaque article que je rédige sur mon blog "Padreso", renforce cette connexion profonde avec moi-même et avec mes lecteurs.

L'abandon, au final, n'est pas une fin en soi, mais un nouveau commencement. Un espace dans lequel la relaxation côtoie la découverte, où chaque journée est une toile vierge prête à être colorée avec les teintes de mes passions. En embrassant cette phase, je réalise qu'il ne s'agit pas de combler le vide laissé par le travail, mais de célébrer la liberté de créer, d'aimer, et de vivre pleinement.

Alors, à vous tous qui approchez de cette phase ou qui y êtes déjà, souvenez-vous : l'abandon n'est pas une perte, mais un vaste horizon de possibilités. Ne craignez pas de laisser derrière vous ce qui fut pour embrasser ce qui est et ce qui sera.

Quand l'histoire se rembobine et rappelle à Biden qu'il joue avec le feu.

 

Source: https://www.journaldemontreal.com/2024/04/28/lopposition-a-la-guerre-de-gaza-aux-etats-unis-rappelle-celle-du-vietnam

L'écho du passé dans le présent

La situation actuelle aux États-Unis vis-à-vis de la guerre de Gaza évoque irrésistiblement les jours sombres du conflit vietnamien. Les manifestations étudiantes qui s'intensifient, les arrestations massives sur les campus, et l'indignation croissante vis-à-vis des actions militaires rappellent les scènes de protestation des années 60 et 70. Ainsi, l'histoire semble se rembobiner, révélant les mêmes thèmes de résistance et d'opposition à une guerre lointaine.

L'escalade à Gaza et les réponses américaines

Le point de départ de ce parallèle historique est l'escalade de la violence à Gaza, suite à des actions initiales de Hamas le 7 octobre. La riposte d'Israël, jugée disproportionnée par beaucoup, a provoqué une onde de choc mondiale. Les images des destructions et des souffrances à Gaza ont alimenté les flammes de l'opposition aux États-Unis, cristallisant une solidarité avec les Palestiniens.

Une jeunesse américaine mobilisée

La jeunesse américaine s'est mobilisée de manière significative. Les campements de solidarité et les manifestations qui se multiplient sur les campus rappellent les mobilisations étudiantes contre la guerre du Vietnam. Cette analogie est renforcée par la répression des protestations par les autorités, évoquant les tragiques événements de Kent State en 1970.

L'impact politique sur la présidence Biden

Cette situation pose un défi majeur à l'administration Biden. L'approbation d'une aide militaire supplémentaire pour Israël a exacerbé les tensions avec une partie de sa base, en particulier les jeunes électeurs et les communautés musulmanes. La comparaison avec la présidence de Johnson, qui a vu sa popularité chuter en raison de la guerre du Vietnam, est particulièrement pertinente. Biden risque de voir son soutien s'éroder dans des États clés, un facteur qui pourrait être déterminant pour les prochaines élections.

L'appel à la modération et à la diplomatie

Face à la pression croissante, des voix s'élèvent pour demander une utilisation plus stratégique de l'aide américaine à Israël, afin de modérer les actions du gouvernement Netanyahu. Ce dernier reste cependant ferme sur sa position de poursuivre les opérations jusqu'à la neutralisation du Hamas.

Conclusion : Une leçon d'histoire non apprise ?

L'histoire offre souvent des leçons, mais elles ne sont pas toujours apprises. La répétition des événements entre le Vietnam et Gaza montre que les mêmes erreurs sont répétées, malgré les changements contextuels. Les citoyens et les décideurs doivent réfléchir à ces parallèles pour forger une approche plus prudente et humaine des conflits internationaux. L'opposition croissante à la guerre de Gaza pourrait être un signe que, peut-être, cette fois, la leçon sera retenue.

Le Murdoch, pour redécouvrir les joies de la musique et des amitiés spontanées.

 

Nous sommes allés "casser la glace" hier à la salle du Murdoch sur la rue Fédéral. Quand nous sommes arrivés, une affiche dans la fenêtre de l'immeuble l'abritant était visible, mais nous nous sommes heurtés à une porte close. Après avoir fait le tour des lieux, pas trop certains de l'emplacement, nous avons fini par atterrir dans un autre bâtiment à l'arrière, couvert de graffitis, où résonnait de la musique. Pensant que c'était là, nous sommes entrés et avons découvert de nombreux locaux loués par des musiciens qui y pratiquent leur art. Une véritable pépinière de talents. Par pur hasard, nous sommes tombés nez à nez avec le bon vieux Sam Chenard, un ami du fils de ma conjointe Lise, avec qui il a joué de la musique pendant quelques années dans notre sous-sol de Bromptonville, dans le rang 3. Quel bonheur de revoir ce gentil Sam, toujours passionné par la guitare, et surtout, menant une vie heureuse avec sa blonde et leur jeune enfant. Bonheur, je te salue ! Mais revenons à nos moutons. Nous avons expliqué à Sam que nous cherchions la salle du Murdoch pour assister à un hommage à CCR. Il nous a invités à le suivre et nous y a conduits en un rien de temps. Nous étions devant le bon bâtiment, mais la porte pour accéder au spectacle se trouvait sur le côté, donnant sur la rue Galt Ouest, près de la voie ferrée. Au revoir et merci, Sam. Nous sommes entrés dans ce lieu unique et sympathique qu'est le "Murdoch". À l'intérieur, un décor digne de nos sous-sols d'ados, avec des décorations rappelant les meilleurs films d'horreur des années 80, dont celui mettant en scène Freddy dans toute sa splendeur. Un bar bien garni de nos bières locales et une sélection des alcools les plus populaires étaient à notre portée. Il y avait peu de chaises disponibles, mais ce soir-là, nous avons réussi à trouver deux bons bancs près d'un mur, assez confortables pour cette soirée Creedence. Parmi les spectateurs, des personnes de tous âges, dont quelques-unes aux cheveux grisonnants comme nous. Côté technologie, le Murdoch est très bien équipé, et le son est d'une très bonne qualité, nous permettant d'apprécier chaque morceau à sa juste valeur. Avec notre bon ami André, nous en avons eu pour notre argent, car à 15 $ en prévente, c'était une aubaine. Le groupe était excellent, interprétant tous les grands succès de CCR avec précision, pour notre plus grand plaisir. Nous avions cette douce impression tout au long de la prestation d'avoir fait un saut dans notre passé de jeunes adultes, à l'époque où la musique et les amis occupaient une place importante dans nos vies. Une expérience et un lieu que nous souhaitons partager avec nos connaissances, car ce ne sera pas la dernière fois que nous profiterons du Murdoch.

Prochain rendez-vous rock'n'roll:

Pourquoi se passerions-nous de l'IA aujourd'hui?

 

Se passer de l'intelligence artificielle (IA) aujourd'hui serait difficile pour plusieurs raisons. L'IA s'est intégrée dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne et professionnelle, apportant des améliorations en termes d'efficacité, d'accessibilité et de personnalisation. Voici quelques domaines clés où l'IA est devenue indispensable :

1. Technologie et communication : l'IA aide à filtrer et à organiser d'énormes quantités d'informations. Les moteurs de recherche, les réseaux sociaux et les assistants personnels utilisent tous l'IA pour personnaliser les expériences des utilisateurs.

2. Santé : L'IA est utilisée pour diagnostiquer des maladies plus rapidement et avec plus de précision, personnaliser les traitements et même aider dans la recherche de nouveaux médicaments.

3. Transport : De la navigation GPS optimisée par l'IA aux véhicules autonomes, l'IA joue un rôle crucial dans la réduction des embouteillages, l'amélioration de la sécurité et l'augmentation de l'efficacité énergétique.

4. Industrie : L'IA optimise les chaînes de production, améliore la gestion des stocks et augmente l'efficacité énergétique, tout en réduisant les coûts et les déchets.

5. Finance : L'analyse prédictive et les algorithmes d'IA sont utilisés pour la gestion des risques, la détection de fraudes et l'automatisation des processus bancaires.

6. Éducation : Des systèmes adaptatifs propulsés par l'IA permettent une personnalisation de l'apprentissage, en s'adaptant au rythme et au style de chaque étudiant.

Renoncer à l'IA impliquerait des retours à des processus moins efficaces, plus coûteux et potentiellement moins sûrs. Cela dit, il est également crucial de reconnaître et de gérer les défis éthiques, sociaux et sécuritaires que l'IA pose pour s'assurer qu'elle reste un outil bénéfique pour la société.

S'émerveiller devant l'intelligence est une belle absence!

C'est une phrase poétique et profonde ! Si l'on considère « s'émerveiller devant l'intelligence » comme une reconnaissance de la complexité et de la beauté de la pensée humaine ou de l'ingéniosité, alors oui, cela peut être une forme d'absence : une évasion momentanée des soucis quotidiens pour admirer quelque chose de grand et de mystérieux. Cela souligne peut-être la capacité de l'intelligence à nous transporter au-delà de notre réalité immédiate. Qu'est-ce qui vous amène à réfléchir à ce sujet aujourd'hui ?