lundi 22 avril 2024

Partageons, réduisons, économisons : l'application Partage Club débarque au Québec!

Avez-vous déjà ressenti cette frustration d'acheter un objet pour un usage unique, sachant qu'il finira ensuite au fond d'un placard ou pire, à la poubelle? Perceuse, échelle, trampoline… la liste est longue des biens qui encombrent nos maisons et nos garages, utilisés une poignée de fois par année, au mieux. Et, si je vous disais qu'il existe une solution pour optimiser l'utilisation de ces objets, tout en réduisant vos dépenses et en favorisant l'entraide entre voisins?

C'est justement la promesse de Partage Club, une application québécoise qui révolutionne la manière de consommer en proposant un système de partage d'objets entre particuliers. Fini l'achat impulsif et les regrets de porte-monnaie vide! Avec Partage Club, vous avez accès à une multitude d'objets disponibles dans votre quartier, à portée de main et à moindre coût.

Comment ça marche?

Le principe est simple:

  1. Téléchargez l'application Partage Club et créez votre profil.
  2. Géolocalisez-vous pour visualiser les objets disponibles dans votre entourage.
  3. Parcourez les annonces, photos à l'appui, et sélectionnez l'objet qui vous intéresse.
  4. Envoyez une demande de prêt au propriétaire de l'objet.
  5. Convenez d'un rendez-vous pour récupérer et emprunter l'objet.
  6. Profitez-en! Et n'oubliez pas de laisser une évaluation à votre prêteur une fois l'objet rendu.

Quels sont les avantages?

Pour les emprunteurs:

  • Economies: Accédez à une large gamme d'objets sans avoir à les acheter, pour un coût souvent symbolique.
  • Consommation responsable: réduisez votre impact environnemental en évitant les achats superflus et en prolongeant la durée de vie des objets.
  • Découverte: Tentez de nouvelles expériences en empruntant des objets que vous n'auriez jamais osé acheter.
  • Lien social: rencontrez vos voisins et tissez des liens de solidarité dans votre communauté.

Pour les prêteurs:

  • Désencombrement: Libérez de l'espace chez vous en donnant une seconde vie à vos objets inutilisés.
  • Revenu complémentaire: gagnez quelques dollars en partageant vos biens avec vos voisins.
  • Impact positif: contribuez à une économie circulaire et à un mode de vie plus durable.
  • Lien social: rencontrez vos voisins et échangez avec eux.

Partage Club, bien plus qu'une simple application

En plus de son aspect pratique, Partage Club s'inscrit dans un mouvement plus large de consommation collaborative et responsable. L'application encourage l'entraide, le partage et la réduction du gaspillage, des valeurs essentielles pour un avenir plus durable.

Envie de vous lancer?

Téléchargez l'application Partage Club dès aujourd'hui et rejoignez la communauté de consommateurs responsables au Québec! Vous serez surpris de la diversité d'objets disponibles dans votre quartier et des économies que vous pouvez réaliser.

N'oubliez pas de partager votre expérience sur les réseaux sociaux avec le hashtag #PartageClubQuebec!

Ensemble, réduisons notre impact environnemental et favorisons une économie locale et circulaire!

 

vendredi 19 avril 2024

"N'attisons pas les flammes de la division américaine."

Source: https://www.usnews.com/news/the-report/articles/2024-04-19/the-thin-line-between-urging-activism-and-extremism

« La frontière mince entre l’activisme et l’extrémisme »

Résumé de l'article

L'article, rédigé par Lauren Camera, traite de la fine ligne qui sépare l'activisme de l'extrémisme aux États-Unis, un sujet de plus en plus préoccupant à l'approche des élections de 2024. Il cite des exemples récents où des figures politiques, notamment le sénateur républicain Tom Cotton et la candidate républicaine Kari Lake, ont fait des déclarations qui, bien que légalement protégées, flirtent avec l'incitation à la violence. L'article soulève des questions sur le rôle des politiciens dans l'escalade de la rhétorique conflictuelle et examine comment de tels discours pourraient influencer les comportements extrémistes parmi les citoyens.

Commentaire

L'incitation à la confrontation, comme le souligne l'article, est particulièrement dangereuse dans le climat politique actuel, où les divisions sont exacerbées non seulement par des questions politiques, mais aussi par des personnalités charismatiques comme Donald Trump, qui semblent polariser encore plus l'opinion publique. L'approbation de comportements agressifs ou de démonstrations de force comme une forme de protestation politique pose un sérieux défi à la stabilité sociale et à la démocratie elle-même.

Réflexion sur la prise de parti politique aux États-Unis

Dans ce contexte, prendre ouvertement parti pour l'un ou l'autre des grands partis politiques aux États-Unis peut effectivement contribuer à « souffler sur la braise du feu » qui divise présentement la nation américaine. La polarisation accrue et l'encouragement à des confrontations violentes ou agressives ne font qu'élargir le fossé entre les citoyens, compliquant toute forme de dialogue constructif ou de réconciliation.

L'importance de l'observation et de la réflexion personnelle

Il paraît donc sage, dans un tel environnement, de privilégier une position d'observateur attentif plutôt que de contribuer à la polarisation par des déclarations partisanes.

Conclusion

L'article met en lumière une problématique essentielle dans le contexte politique actuel américain : la distinction entre activisme et extrémisme. Dans un climat déjà chargé, il devient crucial de repenser la manière dont les discours politiques sont formulés et perçus. Éviter de se laisser entraîner dans des déclarations incendiaires et choisir de réfléchir calmement aux options disponibles peut contribuer à une atmosphère politique plus saine et plus constructive. Seul, le vote des Américains scellera leurs convictions et restera le moyen puissant et pacifique à privilégier dans les turbulences actuelles. Comme disent les jamaïcains ¨ Cool running”.

 

mercredi 17 avril 2024

Profite de vivre, le plus grand des trésors.


 

Nous sommes le miroir de nos ennemis!

 


Accepter de vieillir!



Dans notre course effrénée à travers la vie, nous sommes souvent confrontés à un défi universel : accepter les changements inévitables qui accompagnent le passage du temps. Pour beaucoup d'entre nous, le vieillissement peut être une source de préoccupation constante, marqué par des questionnements sur notre santé et notre bien-être. Mais, si nous prenons un moment pour réfléchir avec calme et sagesse, nous réalisons que le vieillissement est une partie naturelle du cycle de la vie et une transformation à embrasser avec grâce et acceptation.

Le Mythe de l'Éternelle Jeunesse

Dans notre société obsédée par la jeunesse éternelle et la perfection physique, il est facile de tomber dans le piège de la négation du vieillissement. Nous nous accrochons désespérément à l'image du « superman » qui défie les lois de la nature, refusant d'admettre que le temps laisse son empreinte sur chacun de nous. Mais en réalité, la véritable force réside dans notre capacité à embrasser notre humanité, avec toutes ses imperfections et ses transformations.

Naviguer avec Sagesse

Accepter de vieillir ne signifie pas abandonner l'espoir de maintenir une bonne santé et un bien-être optimal. Au contraire, cela implique de reconnaître et de respecter les changements physiologiques qui surviennent au fil du temps, tout en continuant à prendre soin de notre corps et de notre esprit. Cela nécessite une approche équilibrée, qui combine l'acceptation de ce qui est avec un engagement à cultiver la santé et le bonheur à chaque étape de notre voyage.

Apprendre à Écouter son Corps

Lorsque nous prenons conscience des signes subtils que notre corps nous envoie, nous pouvons mieux comprendre ses besoins et ses limites. Plutôt que de paniquer au moindre petit inconfort, prenons le temps de nous écouter attentivement et de répondre avec compassion. Parfois, un manque de souplesse ou d'énergie, sont simplement des rappels doux que nous devons ralentir et prendre soin de nous-mêmes.

S'Épanouir à Toutes les Étapes de la Vie

Accepter de vieillir, c'est aussi reconnaître la beauté et la sagesse qui viennent avec l'expérience. Chaque ride, chaque cheveu grisonnant, raconte une histoire de vie bien vécue, de défis surmontés et de leçons apprises. Au lieu de craindre le passage du temps, embrassons-le avec gratitude, en sachant que chaque étape de notre voyage apporte son lot de cadeaux et de bénédictions.

Conclusion

En fin de compte, accepter de vieillir est un acte de courage et de sagesse. C'est un engagement envers nous-mêmes, pour notre propre bien-être et envers la vérité profonde de notre humanité. En embrassant les changements physiologiques qui accompagnent le vieillissement, nous trouvons la liberté de vivre pleinement et joyeusement à chaque instant, en sachant que la vraie beauté réside dans la gratitude et l'acceptation de ce qui est.

mardi 16 avril 2024

Dur dur d'avoir un rendez-vous médical au Québec.

 




Source: https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2024-04-16/rendez-vous-medical/le-plq-met-dans-l-embarras-christian-dube.php

Il a été impossible pour nos politiciens, tout comme pour moi, d'obtenir un rendez-vous médical avec les outils mis en place par le gouvernement. Je trouve cela tout à fait aberrant. Jusqu'en décembre 2023, je n'avais jamais eu de problèmes de santé. Cependant, comme de nombreux Québécois, j'ai contracté la grippe à cette période. Depuis lors, ma voix est restée enrouée. J'ai essayé à trois reprises d'obtenir un rendez-vous avec mon médecin de famille pour examiner ce problème, sans succès. En raison de la ligne constamment occupée pendant les deux heures allouées pour prendre des rendez-vous les lundis et jeudis matin, de 8 h 00 à 9 h 00, je me suis rendu deux fois à la clinique pour soumettre personnellement mes demandes écrites. De plus, ma pharmacie a envoyé une troisième demande. Malgré cela, il n'a même pas daigné répondre à aucune de ces sollicitations.

Face à ce manque de collaboration de la part de mon médecin, j'ai rencontré les mêmes difficultés que les politiciens en utilisant les outils gouvernementaux pour obtenir un rendez-vous. J'ai finalement réussi via le service 811 à en obtenir un avec une infirmière et non un médecin, qui m'a coûté 180 dollars, somme non remboursable. Cependant, elle m'a simplement renvoyé vers mon médecin de famille, qui continue d'être inaccessible. Ainsi, nous tournons en rond dans ce processus de prise de rendez-vous.

Ultimement, je me suis rendu aux urgences pour essayer de voir un médecin. Comme mon problème a été classifié comme « mineur » au triage, j'ai été constamment doublé par d'autres, et après huit heures d'attente, je suis rentré chez moi sans avoir pu rencontrer personne.

Nous sommes le 16 avril 2024, cinq mois après l'apparition de mes symptômes de voix enrouée, et je suis toujours profondément embourbé dans notre système de santé. Finalement, j'en suis venu à penser qu'en tant que simple citoyen, je n'avais pas d'autre choix que de me résigner et d'espérer que mon enrouement soit de nature bénigne.

Ces expériences soulèvent plusieurs interrogations cruciales : comment les outils gouvernementaux pour la gestion des rendez-vous médicaux pourraient-ils être améliorés pour mieux servir les citoyens ? Quelles sont les conséquences d'un accès limité aux soins médicaux sur la santé publique et individuelle ? Dans quelle mesure les expériences des politiciens reflètent-elles celles des citoyens ordinaires en termes d'accès aux soins de santé ? Quelles alternatives existent lorsque le système de santé traditionnel échoue à répondre aux besoins des patients ? Comment la classification des urgences influence-t-elle le traitement des patients dans les hôpitaux ? Quel rôle la communication entre les fournisseurs de soins de santé joue-t-elle dans l'efficacité du traitement des patients ?

Ces questions méritent une réflexion approfondie et un débat ouvert parmi les professionnels de la santé, les décideurs politiques, et les citoyens eux-mêmes pour trouver des solutions durables à ces problématiques persistantes.

dimanche 14 avril 2024

Nouvelles Stratégies pour un Marché Immobilier Équitable au Québec : Focus sur les Résidences Principales


Sourcehttps://www.journaldequebec.com/2024/04/13/ma-cabane-au-quebec-un-achat-de-moins-en-moins-accessible#cxrecs_s

 

Introduction

La flambée des prix des résidences principales au Québec pose un défi majeur en termes d'accessibilité au logement. Pour contrer cette tendance et rendre le marché immobilier plus juste et abordable, examinons trois mesures potentielles : les taux hypothécaires fixes, des restrictions sur les locations de courte durée, et une taxation renforcée des gains en capital sur les ventes rapides.

1. Taux Hypothécaires Fixes et Bas

Un des moyens les plus efficaces pour procurer une stabilité financière aux propriétaires serait l'implantation de taux hypothécaires fixes de 3 % à long terme pour les résidences principales. Ces taux permettraient aux Québécois d'acheter leur résidence principale avec une meilleure prévisibilité des coûts, évitant les surprises désagréables dues aux variations de taux d'intérêt, et contribuant ainsi à une planification financière plus solide.

2. Interdiction d'Airbnb dans les Zones en Pénurie de Logements

Pour résoudre le problème de l'accessibilité au logement, il serait judicieux de limiter ou interdire les locations de courte durée via des plateformes comme Airbnb dans les régions souffrant d'une pénurie de logements. Ces plateformes, bien qu'utiles pour les touristes, peuvent priver les résidents locaux d'opportunités de logement stable, conduisant les prix à la hausse et exacerbant la crise du logement.

3. Imposition sur les Gains en Capital pour les Ventes Rapides

Pour freiner la spéculation qui peut infliger une volatilité nuisible au marché immobilier, l'introduction d'une taxe sur les gains en capital pour les résidences principales revendues dans un délai de trois ans, avec certaines exceptions comme le transfert de région aux fins d'un emploi par exemple, après leur acquisition pourrait s'avérer efficace. Cette mesure viserait à décourager les achats spéculatifs rapides, aidant ainsi à stabiliser les prix et à garantir que l'achat d'une résidence principale reste une décision d'investissement à long terme.

Conclusion

Les mesures proposées visent à créer un environnement immobilier plus stable et abordable pour les résidences principales au Québec. En mettant en place des taux hypothécaires fixes, en régulant les locations de courte durée, et en décourageant la spéculation immobilière, nous pouvons œuvrer à rendre le rêve de la propriété accessible à plus de citoyens, tout en renforçant la cohésion sociale et économique de notre province.


  Se déconnecter de la techno pour se reconnecter à l’humain Dans un monde où les algorithmes dirigent nos pensées, où la technologie faço...