Dans l'océan de l'esprit, vagues de pensée s'éveillent, Où l'intelligence et le cœur en quête d'équilibre chancellent. Des îlots de sagesse dans la mer de la vie, Effrités, recouverts, mais toujours épris.
Les uns aiment le grand, le beau, avec ferveur, D'autres produisent des merveilles, fruits de leur labeur. Quelle valeur accorder, au créateur ou à l'amant, De l'art pur, de la beauté, brillant tel un diamant?
L'intelligence, cette lumière qui guide sans imposer, Cherche à simplifier, à dévoiler, à révéler. Mais, dans son élan, elle heurte la vanité, Qui complique, qui déforme, avec avidité.
Le cœur et l'esprit, séparés par un abîme, Cherchent l'amour, ce sentiment sublime. Peut-on aimer par intelligence, sans passion ni émoi, Quand entre raison et sentiment, un océan se déploie?
Certains esprits, laborieux, cherchent leur chemin, Au milieu des scrupules, des intérêts enfouis enfin. La stupidité, sans limite, s'étend et s'étale, Tandis que l'intelligence, éternelle, défie et déballe.
Derrière les obstacles, la porte de la connaissance, Attend ceux qui osent, avec persévérance. L'intelligence, un voyage au-delà de la médiocrité, Cherche, questionne, éclaire, sans jamais se lasser.
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