mercredi 13 mars 2024

Quand la musique devient l'arme de la réunion.


https://www.youtube.com/watch?v=HKdsRWhyH30&list=PL5NxLL7bEBQvoSlBTkAsXZ-o34zNrQ9vi
 

Plonger dans l'histoire musicale de Woodstock '69 est un excellent moyen de se reconnecter avec les racines de la musique moderne et d'apprécier l'influence immense de ce festival emblématique. Woodstock a été un moment clé dans l'histoire de la musique, symbolisant la contre-culture des années 60 et la montée du mouvement de la paix. En regardant des performances de Woodstock sur YouTube, vous aurez l'occasion de voir des légendes comme Jimi Hendrix, Janis Joplin, The Who, et bien d'autres, capturant l'esprit d'une époque à travers leur musique révolutionnaire. Profitez bien de cette expérience musicale !


Êtes-vous toujours confinés entre les 2 oreilles?


 Source: La Presse: https://www.lapresse.ca/dialogue/opinions/2024-03-13/place-publique/sommes-nous-vraiment-deconfines.php


Ah, le confinement! Cette période où nos maisons sont devenues des forteresses et nos pyjamas l'uniforme de combat contre un ennemi invisible. Noémi Mercier nous interpelle sur un phénomène fascinant dans son article pour La Presse : bien que les portes de nos demeures se soient ouvertes, nos esprits, eux, semblent encore cadenassés entre les deux oreilles. Voici donc un petit voyage au cœur de ce confinement perpétuel, que j'aime affectueusement appeler : « Toujours confiné entre les 2 oreilles».

Imaginez un instant que votre cerveau ait ses propres règles de distanciation sociale. « Reste à deux neurones d'écart, s'il te plaît! » Votre hippocampe, ce fervent organisateur de souvenirs, se retrouve soudain à gérer une foule de réminiscences masquées, tandis que votre amygdale (oui, cette alarmiste émotionnelle) crie au loup à la moindre étreinte.

Noémi nous révèle que, quatre ans après le début de la pandémie, nous sommes nombreux à mariner encore dans une sorte de sauce à l'anxiété sociale. Comme si, après avoir enfin décroché notre diplôme de l'école du « bien se tenir seul chez soi», nous hésitions à postuler pour le grand monde extérieur. Le terme « syndrome de désengagement pandémique» est lancé, décrivant ceux parmi nous qui, tel un vieux logiciel, peinent à s'actualiser vers la version « Post-Pandémie 1.0».

Pourtant, la vie continue de pulser au-delà de nos écrans, n'est-ce pas? Les parcs ne demandent qu'à voir nos sourires, les rues murmurent nos noms, aspirant à être foulées par des pas qui hésitent encore à se déconfiner. Le monde est un buffet opulent d'expériences, mais nos fourchettes psychologiques semblent avoir perdu leur appétit.

La question demeure : comment briser cette chaîne invisible qui nous lie encore à un passé révolu ? Noémi nous suggère d'oser, pas après pas, réapprendre les chorégraphies sociales que nous exécutions autrefois avec tant d'aisance. Peut-être est-il temps de réenchanter nos interactions, de revoir nos amis et notre famille non pas comme de potentiels vecteurs de maladie, mais comme les précieux compagnons de vie qu'ils ont toujours été.

En réalité, le « Toujours confiné entre les 2 oreilles» n'est pas un état permanent. C'est une invitation à se réinventer, à s'ouvrir de nouveau au monde avec prudence, mais avec l'espoir que demain, nos interactions sociales seront empreintes non de peur, mais de cette chaleureuse humanité qui nous a tant manqué.

En somme, si Noémi Mercier nous tend un miroir réfléchissant notre propre hésitation à sortir de nos coquilles, c'est sûrement pour nous rappeler que la vraie liberté commence là où finit la peur. Alors, chers confinés de l'âme, êtes-vous prêts à redécouvrir le monde, un sourire non masqué à la fois?

"À la Table du Budget 2024 : Un Festin Fiscal pour Tous les Québécois?"



SOURCE: RADIO-CANADA: https://ici.radio-canada.ca/info/2024/calculateur-budget-quebec/

 Ah, le budget provincial québécois de 2024, dévoilé par le ministre des Finances Éric Girard! Ce document, dense et riche en chiffres, ressemble à un menu gastronomique où chaque plat est soigneusement préparé pour satisfaire divers appétits… ou presque. Examinons ensemble si ce festin fiscal est réellement à la portée de tous les palais québécois.

Imaginez-vous entrant dans le restaurant « Québec 2024», où le chef Girard vous accueille avec un sourire confiant. « Voici notre spécialité de la maison : un budget équilibré, saupoudré de contributions et garni de services pour tous. » Mais, en scrutant le menu, on commence à se demander : « Tout le monde trouve-t-il son compte dans ce repas collectif, ou certains quittent-ils la table avec une faim insatiable? »

Pour débuter, le plat principal : la santé, consommant 43 % du budget. C'est un peu comme cette assiette copieuse au centre de la table que tout le monde picore. « C'est le gros morceau, le plat de la " résistance"! Certes, nous payons tous pour cette assurance collective, même si certains d'entre nous n'ont pas l'intention de tomber malades. Un peu comme payer pour une assurance incendie en espérant que sa maison ne brûle jamais, n'est-ce pas?

Puis, on nous sert l'éducation, un plat qui occupe une belle portion de l'assiette avec 22,4 %. On investit dans la jeunesse, dans l'espoir qu'elle apporte fraîcheur et innovation au menu de demain. Mais, entre nous, est-ce que tous les jeunes reçoivent une part égale de ce plat, ou certains sont-ils servis plus généreusement que d'autres?

Ensuite, nous avons le cours sur la loi et l'ordre, garnissant 12,8 % de notre assiette. C'est essentiel pour maintenir l'ordre dans le restaurant, bien sûr. Mais, on ne peut s'empêcher de penser : «À quel point cette portion sécurise-t-elle réellement notre repas collectif? »

Le service de la dette, cette portion indigeste de 5,3 %, ressemble aux légumes oubliés au fond de votre assiette. Nécessaires, mais un peu amers à avaler. « Nous devons manger nos légumes», semble nous dire le chef, « pour ne pas laisser une addition trop salée à nos enfants. »

Et, que dire des mignardises comme l'environnement, à peine 0,9 % du budget? Un petit goût sucré en fin de repas, rappelant qu'on pourrait certainement faire plus pour la planète, même si cela signifie revisiter la recette du budget.

Alors, ce budget est-il équitable pour tous les Québécois? Il semblerait que, comme dans tout grand repas, certains convives sortent plus satisfaits que d'autres. La répartition des plats laisse à penser que, bien que la table soit grande, les portions ne sont pas toujours partagées de manière à ce que chacun y trouve son compte. Et, pendant que certains se délectent de leur part, d'autres restent sur leur faim, espérant un menu plus équilibré pour l'année prochaine.

En somme, le budget de 2024, c'est un peu comme une grande tablée familiale : il y a de l'effort pour plaire à tous, mais on ne peut s'empêcher de penser qu'avec un peu plus de créativité et de volonté, le chef pourrait nous concocter un repas encore plus savoureux et équitable pour tous. Reste à voir si le restaurant « Québec » considèrera les commentaires de ses clients pour le prochain service.

mardi 12 mars 2024

« Quand les autocrates font escale en Floride»


Source: La Presse: https://urlz.fr/pRBU

Imaginez la scène à Mar-a-Lago, où Trump accueille Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, comme si c'était le dernier épisode d'une série à succès intitulée « Quand les autocrates font escale en Floride». Dans cet épisode, le duo dynamique ne se contente pas de serrer des mains, mais de fusionner deux visions du monde qui, pour beaucoup, semblent aussi compatibles que l'huile et l'eau.

Orban, connu pour son approche de la « démocratie illibérale », a été accueilli à bras ouverts par Trump, dans un geste qui semblerait étrange à ceux qui considèrent la liberté de presse et l'indépendance judiciaire comme des piliers non négociables de la société. Mais, dans le monde de Trump, où le terme « autocrate » paraît être un compliment plutôt qu'une condamnation, cela a parfaitement du sens. « C'est lui le boss», déclare Trump, dans un moment de franchise qui révèle plus sur ses propres aspirations que sur les qualités de leadership d'Orban.

L'accueil chaleureux réservé à Orban par les Trump pourrait être perçu comme le dernier signe d'une tendance inquiétante aux États-Unis : une fascination pour les leaders qui gouvernent avec une main de fer, une préférence pour le règne de l'homme fort sur le désordre démocratique. Mais, et si c'était là le grand tour de magie de Trump ? Nous distraire avec des éclats de voix et des poignées de main tout en glissant, presque subrepticement, vers un avenir dans lequel l'autocratie n'est plus seulement admirée de loin, mais adoptée ici même, sous nos yeux.

Pourtant, ce qui est encore plus absurde, c'est l'acceptation tacite de cette situation par un nombre significatif d'Américains. Comme si le fait d'élire le premier autocrate américain était un épisode de télé-réalité dont on attend le prochain rebondissement avec impatience, plutôt qu'une menace réelle à la démocratie. « Après tout, qui ne voudrait pas de son propre autocrate ?», semble susurrer l'air du temps, une question à laquelle nous devrions peut-être tous réfléchir un peu plus sérieusement.

Dans cet univers parallèle où Trump et Orban échangent des astuces sur la gouvernance, on pourrait quasiment entendre la voix off annoncer : « Restez à l'écoute pour le prochain épisode, où nous découvrirons sûrement que la plus grande illusion n'était pas de transformer des autocrates en amis, mais de nous convaincre que nous n'avions rien à craindre». En fin de compte, le vrai spectacle pourrait bien être de découvrir jusqu'où nous sommes prêts à laisser ce scénario se dérouler avant de changer de chaîne.

lundi 11 mars 2024

Tous égaux sur cette terre!

 

Dans l'intimité de Racine, un petit village en Estrie empreint de quiétude et d'espoir, Jacques avait trouvé refuge et réconfort dans les enseignements d'un mouvement chrétien, une flamme ardente qui éveilla en lui une ferveur rougeâtre. Cette révélation spirituelle marqua le début d'une transformation profonde, teintée toutefois d'une arrogance insidieuse, faisant de lui un homme qui se percevait comme un élu parmi les égarés, ses amis d'antan relégués au rang de souvenirs obsolètes, indignes de la promesse du paradis.

Jean-Guy, figure de modération et de sagesse parmi ses amis, incarnait la voie du milieu, une foi équilibrée qui prônait l'inclusion et l'amour sans condition. Lui, le témoin patient, espérait qu'un jour la lumière de la compréhension dissiperait les ombres d'orgueil obscurcissant l'esprit de Jacques.

Le destin, dans son imprévisibilité, orchestrait cependant une leçon d'humilité. Un incendie, tel un jugement purificateur, réduisit en cendres l'existence matérielle de Jacques, le laissant démuni face à l'immensité de sa vulnérabilité. Ce fut dans ce moment de désolation que le véritable amour se manifesta, non pas du ciel, mais de la terre, à travers les actes de ceux qu'il avait jadis méprisés. Ses amis , dans un élan de solidarité inébranlable, lui tendirent la main, lui offrant toit, nourriture, et surtout, un avenir réconforté.

Cet acte de générosité insoupçonnée fut le catalyseur d'une révélation. Jacques vit enfin que la grandeur résidait non pas dans la hauteur de sa foi proclamée, mais dans la simplicité de l'amour pratiqué. Les chaînes de son égo furent brisées, libérant son cœur de l'emprise de la supériorité et ouvrant ses yeux à l'égalité fondamentale de tous les êtres sur le chemin de la vie.

Transformé, Jacques embrassa un nouveau credo, celui de l'humilité et de la gratitude. Il comprit que la spiritualité véritable n'exigeait pas l'isolement, mais invitait à la communion, à la reconnaissance de la dignité inhérente à chaque âme. Il apprit que chaque acte de bonté, chaque geste de pardon était une pierre ajoutée à l'édifice d'une humanité plus unie, plus éclairée.

La leçon de vie que Jacques tira de ses épreuves fut un témoignage éloquent de la puissance transformatrice de l'amour et de l'entraide. Dans la douce lumière de l'aube nouvelle, il marchait désormais sur le chemin de la vie, non plus en juge, mais en frère parmi ses pairs, égal à égal, unis dans la quête commune d'un monde plus juste, plus aimant, où chaque pas est guidé par la lumière intérieure de la compassion et de l'acceptation partagée. Ainsi, Jacques renoua avec l'essence même de ses croyances, découvrant que la vraie sagesse réside dans la simplicité du cœur ouvert et dans la richesse des liens tissés dans l'humanité partagée, tous égaux sur cette terre.

dimanche 10 mars 2024

Qui peut bien se "trumper" encore sur mes intentions?



Dans une démocratie, le pouvoir émane du peuple. Les élus sont temporaires et remplaçables, servant par la volonté de ceux qu'ils représentent, et non l'inverse. Cela rappelle l'importance de la responsabilité, de la transparence, et de l'engagement civique dans le maintien et le renforcement des sociétés démocratiques.

Trompe, lui, veut que les électeurs lui soient loyaux. C'est l'image typique de celui qui aspire à devenir le premier dictateur à la tête des États-Unis d'Amérique. Ne vous y " trumper" surtout pas!

https://x.com/RpsAgainstTrump/status/1766503821180641577?s=20

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