Que serait le monde sans le monde?

 

Dualité des contrastes et équilibre fonctionnel

La vie, dans son essence la plus fondamentale, est une tapisserie tissée de dualités et de contrastes. Cette vérité intemporelle, observée à travers les lentilles de la philosophie, de la culture et de la politique, révèle la dynamique éternelle de l'existence humaine. La dualité n'est pas seulement une caractéristique de notre réalité; elle en est le moteur essentiel, orchestrant l'harmonie et l'équilibre dans le vaste théâtre de la vie.

Au cœur de ces dualités se trouve le contraste entre le bien et le mal, une dichotomie qui se reflète dans nos systèmes moraux et éthiques. Cette dualité dépasse la simple opposition; elle forme la base de notre compréhension de la justice, de la moralité et des valeurs humaines. Elle nous interroge sur notre capacité à discerner le juste de l'injuste, le noble du néfaste, et guide nos actions et décisions.

La lumière et la noirceur, métaphores de la connaissance et de l'ignorance, jouent également un rôle crucial dans notre compréhension du monde. La lumière symbolise souvent la sagesse, l'espoir et la pureté, tandis que la noirceur peut représenter l'inconnu, la peur et l'errance. Cette dualité s'étend au-delà des journées et des nuits pour toucher les aspects les plus profonds de notre quête de sens.

Le jeu entre la vérité et le mensonge est un autre pilier fondamental de notre expérience. Cette dualité interpelle notre rapport à la réalité, questionnant notre capacité à la percevoir et à l'exprimer fidèlement. Elle soulève des interrogations sur la nature de la réalité elle-même, ainsi que sur notre aptitude à communiquer et à partager nos perceptions avec autrui.

La vie et la mort constituent peut-être la dualité la plus universelle et la plus poignante. Elle encapsule l'ultime vérité de notre condition humaine : l'éphémère et l'inévitable, le naissant et le déclinant. Cette dualité nous incite à réfléchir au sens de notre existence, à l'importance de chaque instant et à la valeur de l'héritage que nous laissons derrière nous.

Dans le domaine politique, cette dynamique de dualité se manifeste dans la dichotomie des régimes démocratiques et autoritaires. La démocratie, associée à la liberté, à l'égalité et au choix, s'oppose aux régimes totalitaires où prédominent la restriction et la centralisation du pouvoir. Cette division reflète non seulement des différences politiques, mais aussi des philosophies sous-jacentes sur la nature de la gouvernance et la liberté humaine.

Finalement, l'existence peut être vue comme un acte d'équilibrage entre ces dualités. L'équilibre entre discipline et liberté, structure et flexibilité, est essentiel dans tous les aspects de la vie, de la dynamique familiale à la gestion des sociétés. Trop de rigueur mène à l'oppression et au confinement, tandis qu'un excès de liberté sans structure peut conduire au chaos et à la désintégration. Cet équilibre est un processus dynamique et évolutif, nécessitant une adaptation constante aux changements culturels, sociaux et individuels.

En somme, la reconnaissance et l'appréciation de ces dualités, ainsi que la recherche constante de l'équilibre, sont cruciales pour une existence harmonieuse et épanouissante. Cette quête d'équilibre, bien que complexe et parfois déroutante, est ce qui donne à la vie sa richesse, sa profondeur et, finalement, son sens.

 

Trudeau ou Polièvre?

 

"L'Écho de l'Intelligence"

 

Dans l'océan de l'esprit, vagues de pensée s'éveillent, Où l'intelligence et le cœur en quête d'équilibre chancellent. Des îlots de sagesse dans la mer de la vie, Effrités, recouverts, mais toujours épris.

Les uns aiment le grand, le beau, avec ferveur, D'autres produisent des merveilles, fruits de leur labeur. Quelle valeur accorder, au créateur ou à l'amant, De l'art pur, de la beauté, brillant tel un diamant?

L'intelligence, cette lumière qui guide sans imposer, Cherche à simplifier, à dévoiler, à révéler. Mais, dans son élan, elle heurte la vanité, Qui complique, qui déforme, avec avidité.

Le cœur et l'esprit, séparés par un abîme, Cherchent l'amour, ce sentiment sublime. Peut-on aimer par intelligence, sans passion ni émoi, Quand entre raison et sentiment, un océan se déploie?

Certains esprits, laborieux, cherchent leur chemin, Au milieu des scrupules, des intérêts enfouis enfin. La stupidité, sans limite, s'étend et s'étale, Tandis que l'intelligence, éternelle, défie et déballe.

Derrière les obstacles, la porte de la connaissance, Attend ceux qui osent, avec persévérance. L'intelligence, un voyage au-delà de la médiocrité, Cherche, questionne, éclaire, sans jamais se lasser.

Même si je vieillis, je resterai toujours l'enfant qui apprends!

Au fil des ans, en douceur, on avance,
Sur un chemin où l'âge est une danse.
Vieillir, un art, pas juste avancer en âge,
C'est comme le vin, un fromage, un sage voyage.

Dans chaque ride, une histoire, une trace,
De cette beauté, qu'à tout âge, on embrasse.
Vieillir n'est point un fardeau, mais un cadeau,
Une longue route, parsemée d'échos.

« Jeune d'un vieux, vieux d'un jeune», tel est le cycle,
Chaque jour est précieux, un miracle.
Vieillir, c'est dire « tu » au monde entier,
Et, recevoir « vous » en signe de respect, sans se leurrer.

Ne gémissons point de cet âge qui s'invite,
C'est un privilège, une flamme qui s'agite.
Vieillir, ce n'est pas ralentir nos ébats,
Mais, savourer chaque instant, pas à pas.

Le secret de la jeunesse, c'est de vieillir,
Sans jamais, au fond, cesser de sourire.
Organiser sa jeunesse, année après année,
C'est préparer le changement, une destinée.

Grandir, pas juste en taille, mais en esprit,
Vieillir, c'est accepter chaque défi.
Remplacer rêves par regrets, point n'est notre sort,
Car vieillir, c'est croire en un bel aurore.

Apprenons sans cesse, gardons l'esprit vif,
Parce qu'on vieillit vraiment quand on ne rêve plus.
S'ouvrir aux années, sans crainte ni peur,
C'est dans l'acceptation, trouver son vrai bonheur.

Ainsi, vieillir sereinement, c'est embrasser chaque instant,
C'est grandir en sagesse, et aimer vivement.
Vieillir, ce n'est pas seulement passer des années,
C'est embellir son âme et s'épanouir sans idées arrêtées.

 

Le rythme résonne avec les gens, évoque des souvenirs.

 

¨Du gaz dans le body"

« Si la vie t'a fait le privilège d'être retraité Et, qu'en dedans parfois, tu te sens pressé Comme dans le temps que tu travaillais Comprends bien que t’es pas pressé Mais, que t’as encore du gaz Dans le body. Fas que profites-en pis fais ce que t'aimes! »