mardi 30 mai 2023

JE SAIS, JE SAIS QU'ON NE SAIT JAMAIS !


"Dans notre quête infinie de vérité, plus nous cherchons à savoir, plus nous réalisons l'étendue de notre ignorance, mais en embrassant l'incertitude, cultivons un esprit critique et trouvons la sagesse dans les liens humains et l'amour qui illuminent notre compréhension du monde."

Je vous invite à écouter Jean Gabin s'exprimer sur cette question en cliquant sur ce lien:


Voici les paroles ci-après:

Quand j'étais gosse, haut comme trois pommes,

J'parlais bien fort pour être un homme

J'disais, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS



C'était l'début, c'était l'printemps

Mais quand j'ai eu mes 18 ans

J'ai dit, JE SAIS, ça y est, cette fois JE SAIS



Et aujourd'hui, les jours où je m'retourne

J'regarde la terre où j'ai quand même fait les 100 pas

Et je n'sais toujours pas comment elle tourne !



Vers 25 ans, j'savais tout : l'amour, les roses, la vie, les sous

Tiens oui l'amour ! J'en avais fait tout le tour !



Et heureusement, comme les copains, j'avais pas mangé tout mon pain :

Au milieu de ma vie, j'ai encore appris.

C'que j'ai appris, ça tient en trois, quatre mots :



"Le jour où quelqu'un vous aime, il fait très beau,

j'peux pas mieux dire, il fait très beau !



C'est encore ce qui m'étonne dans la vie,

Moi qui suis à l'automne de ma vie

On oublie tant de soirs de tristesse

Mais jamais un matin de tendresse !



Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire JE SAIS

Seulement, plus je cherchais, et puis moins j' savais



Il y a 60 coups qui ont sonné à l'horloge0

Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j'm'interroge ?



Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU'ON NE SAIT JAMAIS !



La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses

On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses

C'est tout c'que j'sais ! Mais ça, j'le SAIS... !






 


lundi 29 mai 2023


Chère conjointe et enfants de Michel Côté,

Je tiens à vous exprimer toute ma sympathie pour la perte de votre conjoint et cher père, Michel Côté. Son décès m'a profondément attristé, car il nous prive à jamais de sa présence magnifique et authentique sur les écrans et sur scène. Son départ, alors qu'il était encore si jeune dans son cœur et dans sa tête, nous rappelle inopinément la finitude de la vie.

Michel restera à jamais gravé dans nos mémoires comme un artiste talentueux et polyvalent qui a su nous faire rire et pleurer. Sa contribution inestimable à des œuvres telles que "Broue" nous a procuré des moments de joie et d'évasion, tandis que son interprétation dans "Crazy" a touché nos cœurs et fait couler nos larmes. Il était un acteur exceptionnel qui a su captiver nos émotions avec sa performance unique.

Michel peut partir avec le sentiment du devoir accompli, sachant qu'il a apporté tant de bonheur et d'émotions à un public reconnaissant. Son héritage artistique continuera de rayonner et d'inspirer les générations à venir.

En ces moments difficiles, je souhaite que vous trouviez du réconfort dans les souvenirs précieux que vous partagez avec Michel. Puissent les moments de rire, de joie et d'amour que vous avez vécus ensemble vous aide à traverser cette épreuve. Sachez que vous n'êtes pas seuls dans votre chagrin, et que c'est tout le Québec qui partage votre peine et vous soutient.

Michel restera à jamais dans nos cœurs et nos esprits. Sa présence lumineuse et son talent inégalé continueront d'illuminer nos vies. Il manquera à tous ceux qui ont eu le privilège de le connaître à travers son travail.




 

mardi 16 mai 2023

"Qu'est-ce qui rend les gens malheureux et comment le surmonter ?"

 



"Qu'est-ce qui rend les gens malheureux et comment le surmonter ?"

Le malheur est une expérience universelle qui affecte les gens différemment. Les personnes peuvent être mécontentes pour une myriade de raisons, allant d'habitudes négatives comme la procrastination, la victimisation et l'autocritique à des événements qui changent la vie comme la pauvreté et la toxicomanie. Bien que les facteurs qui contribuent au malheur soient divers, il existe certains thèmes communs.

Un facteur commun qui peut contribuer au malheur est l'incapacité de se libérer de sa zone de confort. Les personnes qui refusent de prendre des risques ou d'essayer de nouvelles choses peuvent se retrouver coincées dans une ornière qui conduit à l'ennui, à la frustration et à la stagnation. En revanche, les personnes qui relèvent de nouveaux défis et sortent de leur zone de confort se sentent souvent plus épanouies et satisfaites de la vie.

Un autre facteur qui contribue au malheur est la dépendance, que ce soit à la drogue, à l'alcool ou à la technologie. Ces dépendances conduisent potentiellement à un sentiment d'impuissance et compliquent l'engagement dans le monde de manière significative. Se libérer de ces dépendances peut être difficile, mais c'est possible avec le soutien et les ressources appropriés.

En plus de ces facteurs, les gens peuvent également être malheureux en raison d'un discours intérieur négatif et de critiques. Les personnes qui sont trop critiques envers elles-mêmes peuvent peiner à voir le bien dans leur vie et peuvent avoir une faible estime de soi et une faible confiance. Pour surmonter ces sentiments, les gens devraient essayer de se concentrer sur leurs attributs positifs et s'engager dans un dialogue intérieur positif.

En fin de compte, surmonter le malheur nécessite une volonté d'agir et d'apporter des changements dans sa vie. Cela peut inclure la recherche d'une aide professionnelle, la libération d'habitudes négatives et l'acceptation de nouveaux défis. En prenant ces mesures, les gens peuvent évoluer vers une vie plus épanouissante et satisfaisante.


lundi 15 mai 2023

L'alzheimer est-il un mécanisme de défense du corps humain pour mieux encaisser la mort à venir?

 




Par ce blogue, j'aimerais approfondir la question intrigante de savoir si la démence ou la maladie d'Alzheimer pourraient être considérées comme des mécanismes de défense, préparant le corps humain à la souffrance et à la mort inévitables. Bien que ce soit une perspective intéressante à considérer, il est important d'aborder le sujet avec des preuves scientifiques et une compréhension équilibrée.

Démêler la complexité : la démence et la maladie d'Alzheimer sont des affections neurodégénératives complexes qui affectent principalement les fonctions cognitives et la mémoire. Bien que les causes exactes ne soient pas entièrement comprises, les chercheurs pensent qu'elles impliquent une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux et liés au mode de vie. L'accumulation de protéines anormales dans le cerveau entraîne la perte progressive de cellules cérébrales et un déclin cognitif.

Attention dans l'interprétation : bien qu'il soit naturel de spéculer sur les raisons évolutives potentielles des maladies, telles que leur impact sur la survie, nous devons aborder ces hypothèses avec prudence. Actuellement, il n'existe aucune preuve scientifique soutenant l'idée que la démence ou la maladie d'Alzheimer sont des mécanismes de défense intentionnels de l'organisme.

Sources et informations : des sources fiables telles que l'Association Alzheimer, les National Institutes of Health et l'Organisation mondiale de la Santé fournissent des informations précises sur la démence et la maladie d'Alzheimer. Il est essentiel de s'appuyer sur la littérature scientifique évaluée par des pairs et de consulter des professionnels de la santé pour rester informé sur ces conditions.

Vieillissement et maladie : le vieillissement est un processus naturel, accompagné de divers changements biologiques dans le corps. Bien que ces changements puissent augmenter la vulnérabilité aux maladies, cela n'implique pas une mort imminente. La démence et la maladie d'Alzheimer, bien que prévalentes chez les personnes âgées, n'indiquent pas directement une mortalité imminente. De nombreuses personnes atteintes de ces conditions peuvent vivre plusieurs années après le diagnostic.

Conclusion : Comprendre la complexité de la démence et de la maladie d'Alzheimer nécessite une perspective globale. Bien que l'exploration de théories alternatives soit intrigante, il est crucial de faire la différence entre les preuves scientifiques et les idées spéculatives. Le développement de ces conditions ne doit pas être interprété comme des précurseurs d'une mort imminente. En restant informés grâce à des sources fiables, nous pouvons contribuer à des discussions précises et soutenir les personnes touchées par ces troubles neurologiques.

La Retraite : Un Plongeon Vers la Liberté



La Retraite : Un Plongeon Vers la Liberté

Pour de nombreuses personnes, la retraite est un moment attendu avec impatience. On imagine des journées paisibles à se détendre sous le soleil, à voyager et à savourer la vie. Cependant, pour certains, la réalité est bien différente.

La retraite peut être comparable à un saut dans le vide. On quitte un monde familier, avec ses habitudes et ses repères, pour se retrouver dans l'inconnu. C'est comme si l'on était projeté dans les ténèbres totales, sans savoir où l'on atterrira.

La descente peut être longue et angoissante. On ignore comment remplir ses journées, comment remplir ce vide soudain. Pour certaines, cette période peut même sembler insupportable.

Pourtant, il y a une lueur au bout du tunnel. Avec le temps, nous découvrons nos nouvelles ailes : la liberté. Alors, on réalise que le temps nous appartient, que l'on peut faire ce que l'on veut, quand on le veut, en prenant le temps de le faire. Voyager, apprendre de nouvelles choses, passer du temps avec nos proches.

La retraite peut être un moment de découverte et d'épanouissement. Il suffit de prendre son envol et avec la pratique, c'est avec assurance et beaucoup d'adresse que vous profiterez de cette nouvelle liberté.

Alors, si vous vous préparez à prendre votre retraite, n'ayez pas peur du saut. C'est simplement une transition vers une nouvelle vie remplie de possibilités.


 

L'homme craint l'homme, paradoxal non?


 La peur de l'inconnu, l'auto-préservation et les expériences historiques ont toutes contribué à la nature paradoxale de la peur humaine. Examinons quelques aspects clés qui éclairent ce sujet intrigant.

1. Les instincts primitifs de la peur

La peur est profondément ancrée dans la nature humaine et sert de mécanisme de survie perfectionné au cours de milliers d'années. Face à des menaces potentielles, le corps réagit en déclenchant la réaction de combat ou de fuite, un instinct primaire conçu pour se protéger du mal. Cette peur innée est souvent projetée sur les autres, car les humains sont câblés pour percevoir avec prudence des individus ou des situations inconnues ou potentiellement dangereuses. Ainsi, le paradoxe surgit : l'instinct même qui assurait autrefois la survie génère maintenant l'appréhension chez les autres humains.

2. La peur de l'inconnu

La peur de l'inconnu joue un rôle important dans le paradoxe des humains qui se craignent les uns les autres. Les personnes ont tendance à être plus à l'aise avec ce qu'ils savent et comprennent, car cela procure un sentiment de sécurité et de prévisibilité. Face à des personnes ou à des circonstances inconnues, des doutes et des soupçons surgissent, conduisant à une position défensive et à un sentiment de peur accru. Cette peur peut être considérée comme une mesure d'autoprotection, tentant d'atténuer les risques ou dangers associés à l'inconnu.

3. Expériences historiques et influences culturelles

Tout au long de l'histoire, les humains ont été exposés à d'innombrables cas de conflits, de trahisons et de dommages causés par leur propre espèce. Ces expériences laissent des empreintes durables dans la mémoire collective et façonnent la façon dont les individus se perçoivent et se rapprochent les uns des autres. Les influences culturelles, telles que les histoires, les médias et les récits sociétaux, contribuent davantage à la perpétuation de la peur. La répétition de récits édifiants et de représentations négatives du comportement humain renforce l'idée qu'il faut se méfier de ses semblables. Ce cycle perpétue la nature paradoxale de la peur.

4. Problèmes de conditionnement social et de confiance

Le conditionnement social joue un rôle important dans la formation des perceptions et du comportement des individus. Les expériences négatives et les traumatismes personnels peuvent entraîner le développement de problèmes de confiance, ce qui complique pour les individus de faire pleinement confiance aux autres. Cette méfiance inhérente peut se manifester sous forme de peur, ce qui entraîne une approche prudente des relations interpersonnelles. La peur d'être trompé, blessé ou exploité amène les individus à se distancier des autres, alimentant davantage le paradoxe de la peur des autres.

5. Influence des médias et de la société

Les médias et les normes sociétales contribuent également au paradoxe des humains qui se craignent les uns les autres. Les organes de presse donnent souvent la priorité au sensationnalisme, mettant en lumière les cas de violence, de crime et de conflit, qui peuvent déformer la perception de la réalité. Ces récits créent une vision biaisée du monde et perpétuent un climat de peur et de méfiance. La société joue aussi un rôle dans la formation de ces perceptions à travers les normes sociales, les stéréotypes et les préjugés. Ces facteurs se combinent pour renforcer l'idée que les humains doivent être craints, perpétuant le paradoxe.

  Se déconnecter de la techno pour se reconnecter à l’humain Dans un monde où les algorithmes dirigent nos pensées, où la technologie faço...