dimanche 14 juillet 2024

Un acte de violence incitant à réfléchir aux discours des leaders politiques!



L’analyste David Rothkopf pointe du doigt Trump lui-même.


« Trump n’est pas seulement la cible de la fusillade, mais il en porte une part substantielle de responsabilité. De plus, comme pour le démontrer et l’amplifier, les premiers mots qu’il a prononcés après la fusillade – “fight, fight, fight” – montrent clairement que non seulement il n’est ni une victime innocente ni un héros, comme certains tentent déjà de le dépeindre, mais qu’il est lui-même une menace, aussi susceptible de fomenter la violence à l’avenir qu’il l’a été dans le passé. »

L'incident tragique d'hier, où Donald Trump a été victime d'une tentative d'assassinat, a secoué la scène politique et la société dans son ensemble. Cet acte de violence, bien que profondément attristant, particulièrement pour les innocentes victimes, nous pousse à réfléchir sur la dynamique entre les discours politiques et leurs conséquences.

Il est crucial de comprendre que les paroles des leaders politiques ont un impact considérable sur la société. Donald Trump, tout au long de sa carrière, a souvent utilisé une rhétorique incendiaire, inondant la scène politique de discours haineux et polarisants. Ses appels répétés à "fight, fight, fight" après l'incident illustrent comment ses propos peuvent être perçus comme une incitation à la violence. L'analyste politique David Rothkopf a souligné que Trump n'est pas seulement la cible de cette fusillade, mais qu'il porte une part de responsabilité en raison de son historique de discours incendiaires.

Cependant, il est important de clarifier que condamner la violence ne signifie pas justifier ou minimiser les actions de Trump. La violence ne résout rien et ne fait qu'aggraver les tensions. En tant que société, nous devons condamner fermement tous les actes de violence, quels qu'ils soient, tout en reconnaissant la nécessité d'un changement dans notre manière de communiquer et d'interagir les uns avec les autres.

Ce tragique événement nous rappelle l'importance de la responsabilité dans la communication politique. Les leaders doivent être conscients de l'impact de leurs paroles et œuvrer pour désamorcer les tensions plutôt que de les exacerber. La promotion d'un discours basé sur le respect, la compréhension et le dialogue constructif est essentielle pour prévenir de tels actes de violence à l'avenir.

Il est crucial de promouvoir le dialogue, la compréhension mutuelle et la paix. La haine, qu'elle soit verbale ou physique, engendre des réactions destructrices. En travaillant ensemble pour désamorcer les conflits, nous pouvons créer un environnement où chacun se sent entendu et respecté, et où la violence n'a pas sa place.

Cet incident devrait être un catalyseur pour un changement positif, nous incitant tous à réfléchir sur l'impact de nos paroles et à œuvrer pour un futur plus pacifique et uni. Les leaders politiques, en particulier, ont la responsabilité d'utiliser leur influence pour promouvoir un discours constructif et respectueux, afin de bâtir une société où la violence n'a pas de place.

vendredi 12 juillet 2024

Trump ou Biden?


 "Le baromètre NPR/NewsHour/Marist révèle le 11 juillet 2024 que 68 % des électeurs américains considèrent qu'un président qui ne dit pas la vérité est plus préoccupant qu'un président potentiellement trop âgé pour servir. "

jeudi 11 juillet 2024

TRUMP frappe et ment!



Monsieur Trump,

Vos récentes déclarations niant toute connaissance du Projet 2025 sont non seulement une insulte à l’intelligence du public américain, mais elles révèlent également un mépris flagrant pour la vérité et la transparence. Vous avez, à plusieurs reprises, loué la Heritage Foundation et reconnu leur rôle dans l’élaboration des politiques pour votre potentiel second mandat. Pourtant, vous persistez à nier toute affiliation avec ce projet, malgré les preuves évidentes qui démontrent le contraire.

Le Projet 2025, élaboré par la Heritage Foundation, propose des changements radicaux qui menacent les fondements mêmes de notre démocratie. Ce plan, soutenu par plusieurs de vos anciens collaborateurs, vise à remplacer des milliers de fonctionnaires apolitiques par des loyalistes, centralisant ainsi le pouvoir et érodant l’indépendance de nos institutions. De plus, il met en avant un nationalisme chrétien inquiétant, qui compromet la séparation essentielle entre l’Église et l’État.

En niant votre implication dans le Projet 2025, vous manquez de respect non seulement aux Américains, mais aussi à nos institutions démocratiques. Les mensonges constants et les contradictions sapent la confiance du public et alimentent une polarisation déjà dangereusement élevée. La vérité est une pierre angulaire de toute démocratie et vos tentatives de désinformation mettent en péril cette valeur fondamentale.

Tentative de Compréhension du Raisonnement

Stratégie de la Contradiction : Votre comportement, qui consiste à autoriser la publication du Projet 2025 juste après un jugement de la Cour suprême vous accordant une immunité presque absolue, puis à nier toute connaissance de ce projet, est une manœuvre classique de confusion et de manipulation. Cette stratégie peut être qualifiée de « coup de poing en pleine face suivi d'un mensonge  ». En dévoilant le projet puis en niant son existence, vous tentez de semer le doute, de diviser l'opinion publique et de détourner l'attention des critiques les plus virulentes.

Effet de Choc et Désinformation : Le « coup de poing en pleine face » se réfère à l'effet de choc initial que produit la publication du Projet 2025. Les propositions radicales et controversées captent l'attention du public et des médias, créant une onde de choc. Ensuite, en niant toute implication, vous introduisez un élément de désinformation qui déstabilise les critiques et embrouille le discours public. Cette technique vise à affaiblir la capacité des opposants à formuler une réponse cohérente et à maintenir la confusion parmi les électeurs.

Manipulation de la Perception Publique : En utilisant cette stratégie, vous tentez de manipuler la perception publique. Vous présentez des idées radicales par le biais de vos alliés et, lorsque la réaction est négative, vous niez toute implication pour éviter les retombées directes. Cette approche vous permet de tester la réception de ces idées tout en maintenant une certaine distance pour minimiser les dommages à votre image.

Conclusion

Il est crucial que vous cessiez ces manœuvres de désinformation et que vous reconnaissiez la vérité. La démocratie américaine repose sur des principes de transparence et de responsabilité. En persistant dans vos mensonges, vous ne faites que nuire à ces principes et manquer de respect à ceux que vous prétendez servir.

Pour le bien de la grande et fière nation américaine, pour la préservation de sa démocratie, et pour le respect que vous devez aux citoyens américains, il est temps de cesser ces pitreries dangereuses. Les électeurs méritent la vérité, et il est de votre devoir de leur fournir et de cesser vos mensonges quotidiens.

mercredi 10 juillet 2024

L'art trumpien de détourner les regards des vrais enjeux.

 

Sourcehttps://richardhetu.com/2024/07/10/la-citation-du-jour-1390/

« La super majorité actuelle des juges conservateurs [de la Cour suprême] a promulgué de tels changements au cours des dernières années, tous dans le sens d’un recul des protections fondamentales des droits des femmes, des droits civils et de la santé publique, et plus généralement en faisant tout ce qui est imaginable pour désactiver le gouvernement fédéral (qu’ils décrivent dans les termes les plus négatifs) – tout cela s’alignant sur un programme de droite radicale – que j’ai du mal à les considérer comme autre chose que des activistes politiques partisans. Il me semble tout à fait plausible qu’ils finissent par permettre l’émergence d’un président autoritaire – en particulier avec leur décision d’accorder une immunité quasi générale contre les poursuites pénales aux présidents pour des actes “officiels”, que la Cour interprète au sens large. Non seulement Trump percevra cela comme une carte blanche pour faire des choses innommables, mais il en sera de même pour ses partisans et ceux qui l’entourent. »

— Jody Freeman, professeure de droit à l’Université Harvard, s’alarmant des décisions des juges conservateurs de la Cour suprême et de la possibilité que Donald Trump s’en serve pour poursuivre ses ambitions autoritaires. Ce sujet devrait dominer les manchettes aux États-Unis, mais la performance lamentable de Joe Biden lors du premier débat présidentiel, illustration du déclin de ses facultés cognitives, détourne l’attention du public et des médias et augmente de façon importante les chances d’un retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.

lundi 8 juillet 2024

Le talon d'achille de Trump: Le projet 2025


Source: https://www.project2025.org/. et https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2030956/trump-washington-presidentielle-americaine-projet-2025


 Ce Projet 2025 consiste essentiellement à pervertir la Constitution américaine et à confier tous les pouvoirs à l'exécutif, ce qui revient à créer un État autoritaire où le président est un dictateur qui dirige l'armée pour s'en prendre à ses ennemis.

Une citation deMary Guy, professeure à l’École d’affaires publiques, Université du Colorado

Terminator contre Trump!


Source:
 https://www.youtube.com/watch?v=PPSnD8gtwxU

Quand Trump joue la campagne présidentielle comme on tourne un thriller, il est acceptable que le plus grand des acteurs de ce genre de film en fasse la critique. Et le résultat est surprenant. Comment ne pas voir Arnold Schwarzenegger comme celui qui saura sauver la démocratie américaine contre cet envahisseur teinté russe orangé?

Arnold Schwarzenegger, acteur emblématique et ancien gouverneur de Californie, a récemment fait une déclaration qui a secoué le paysage politique américain. Connu pour ses rôles de héros infaillibles dans des films d'action, Schwarzenegger a utilisé sa notoriété et son charisme pour critiquer ouvertement Donald Trump, mettant en lumière les dangers que ce dernier représente pour la démocratie.

Dans un contexte où la politique américaine semble parfois se transformer en une série télévisée dramatique, les interventions de Schwarzenegger prennent une importance particulière. Son message est clair : la démocratie ne peut survivre à la division et à la haine. Il appelle à un retour aux valeurs fondamentales, à l'unité et à la décence, des principes qui semblent s'éroder sous l'influence de Trump.

Schwarzenegger a souligné que les mouvements basés sur la haine n'ont jamais prospéré. En rappelant les échecs des nazis, de la Confédération et du mouvement de l'apartheid, il démontre que la division ne mène qu'à la défaite. Son appel à l'unité et à la positivité est un rappel crucial en ces temps de polarisation intense.

La comparaison de Schwarzenegger entre l'émeute du 6 janvier et la Nuit de Cristal des nazis est audacieuse mais poignante. Il ne s'agit pas seulement de deux événements violents, mais de symboles de l'attaque contre les valeurs démocratiques et les droits de l'homme. En évoquant cette comparaison, Schwarzenegger cherche à réveiller les consciences et à alerter sur les dangers de la complaisance face à la haine et à la division.

Arnold Schwarzenegger n'est pas seulement un acteur, il est aussi un ancien gouverneur avec une expérience politique réelle. Sa critique de Trump n'est pas simplement celle d'une célébrité cherchant l'attention, mais celle d'un leader préoccupé par l'avenir de son pays. En utilisant sa plateforme pour dénoncer les actions de Trump, Schwarzenegger montre qu'il est prêt à défendre la démocratie avec la même ferveur qu'il mettait à combattre les ennemis dans ses films.

Pour les lecteurs de Padreso, cette intervention de Schwarzenegger est un appel à l'action. Il nous rappelle que la démocratie ne peut être prise pour acquise et que chacun d'entre nous a un rôle à jouer pour la protéger. La critique de Schwarzenegger est une invitation à se lever, à s'engager et à travailler ensemble pour un avenir meilleur, un avenir où la démocratie et les valeurs humaines triomphent de la division et de la haine.

En fin de compte, Arnold Schwarzenegger se positionne comme un véritable défenseur de la démocratie, utilisant son influence et son expérience pour lutter contre les forces qui menacent de la détruire. Son message est un puissant rappel que, tout comme dans les films, le bien peut triompher du mal, mais seulement si nous avons le courage de nous lever et de nous battre pour ce en quoi nous croyons.

dimanche 7 juillet 2024

Le vélo n’est souvent pas vu comme une machine à imprimer de l’argent. Mais il devrait l’être.


 Source:
 https://www.lapresse.ca/affaires/finances-personnelles/2024-07-07/l-argent-et-le-bonheur/le-velo-est-une-machine-secrete-a-fabriquer-des-millionnaires.php

Ce dimanche, je vous invite à lire cet excellent article de Nicolas Bérubé du journal La Presse sur les nombreux avantages que procure le vélo. 

"Imaginez une invention qui rend les gens plus musclés, de meilleure humeur, qui réduit les coûts de transport, qui rallonge l’espérance de vie, qui combat le surpoids, qui élimine le besoin d’avoir un abonnement au gym et de trouver du temps pour s’entraîner, qui aide à résoudre la congestion routière, en plus d’éliminer les problèmes de stationnement, de réduire à presque zéro les dépenses des contribuables en matière de mobilité, et qui est agréable à utiliser, qui élimine la pollution sonore et l’émission de particules fines, qui réduit les risques de maladies du cœur, de démence, et le besoin de recourir aux hôpitaux, qui encourage la socialisation, qui développe l’autonomie des enfants, des adolescents et des aînés, en plus de nous donner un meilleur teint et de nous rendre plus attirants aux yeux d’un partenaire actuel ou futur.

Ah oui, et imaginez que cette invention combat aussi le problème des milliards de dollars que nous remettons chaque année aux producteurs d’énergies fossiles. Et qu’elle fait diminuer le relâchement dans l’atmosphère des gaz qui réchauffent dangereusement et pour toujours la seule planète habitable de notre système solaire.

Combien coûterait une telle invention ? Probablement quelques millions, n’est-ce pas 

Me croiriez-vous si je vous disais qu’elle ne coûte que quelques centaines de dollars ? Et qu’à Montréal, à Laval, à Longueuil, à Boucherville, à Terrebonne, à Westmount, à Mont-Royal et à Montréal-Est, cette invention est déjà accessible en 10 000 exemplaires au coin des rues, 24 heures sur 24, prête à enrichir de façon permanente la vie de toute personne qui en approche son téléphone intelligent ?

J’essaie souvent de prodiguer ici des conseils pour diminuer ses dépenses.

C’est facile de se rabattre sur des clichés. Arrêter d’acheter des cafés à l’extérieur. Manger moins au resto le midi. Choisir un véhicule motorisé moins coûteux.

Mais il existe une bien meilleure façon de concilier l’argent et le bonheur. S’il s’agissait d’une pilule, bien des gens se l’arracheraient – avec raison.

Le vélo n’est souvent pas vu comme une machine à imprimer de l’argent. Mais il devrait l’être.

Au Québec, on pense souvent que le vélo n’est bon que pour les gens qui habitent en ville. Et c’est vrai que le vélo est parfait pour les courtes et moyennes distances, disons moins de 10 kilomètres.

La bonne nouvelle ? Les 13 millions de Canadiens qui utilisent la voiture pour se rendre au travail parcourent une distance médiane de 8,7 kilomètres dans chaque direction, selon Statistique Canada.

Est-ce que le navetteur qui parcourt 81 kilomètres pour aller travailler existe ? La mère qui va déposer l’équipe de soccer au complet au milieu de nulle part ? Bien sûr qu’ils existent, et ils ont besoin d’une voiture. Mais ces cas forment une minorité des déplacements. La majorité des déplacements sont courts.

Aussi, bien des gens voient le vélo comme un moyen de transport pour les jeunes en excellente forme physique. Tout ça est 100 % culturel et variable : dans les endroits d’Europe où les réseaux cyclables ont été priorisés depuis les années 1970, il est courant de voir des personnes âgées faire leurs courses à vélo dans de petites, moyennes et grandes villes.

L’âge n’a jamais été un facteur dans mon esprit. Avec la marche, mon vélo a toujours été mon principal mode de transport. C’était vrai quand j’avais 15 ans et c’est vrai aujourd’hui à 47 ans. À la campagne, en banlieue ou en ville, ça ne fait aucune différence : j’utilise mon vélo comme j’utilise mes yeux, mes mains ou mes jambes.

Et pour les distances plus longues, ou pour les gens moins en forme, le vélo électrique est révolutionnaire. On peut arriver au travail sans une goutte de sueur, même en montant des côtes les jours de canicule. On trouve des centaines de vélos électriques sur Kijiji ou sur Marketplace, avec plusieurs modèles à moins de 1000 $. On trouve aussi des remorques d’occasion qui permettent de transporter des enfants, l’épicerie, etc.

Je crois qu’une des barrières à l’utilisation du vélo est psychologique. Bien des tâches dans notre journée sont automatisées. Et donc lorsqu’on veut aller quelque part, on tend le bras pour saisir notre trousseau de clés.

Même s’il fait 25 degrés, que le soleil brille et qu’on est sur le point de déplacer une caisse de métal et de verre de 2000 kg pour aller déposer un enfant de 23 kg à 4 kilomètres de la maison.

Je comprends que des gens habitent sur des routes où la vitesse permise est de 70 km/h ou 90 km/h avec beaucoup de trafic routier et qui ne permettent pas la pratique du vélo. Cela dit, la majorité des gens habitent dans un environnement où des chemins plus calmes existent, et où la pratique du vélo est sécuritaire.

En fait, c’est ne pas utiliser le vélo qui est dangereux.

Huit Canadiens sur dix souffrent de sédentarité, un état propice au développement de différents cancers et des maladies cardiovasculaires, les deux premières causes de décès au pays.

Se déplacer à vélo élimine la sédentarité. C’est aussi simple que ça.

Je sais que les gens qui lisent cette rubrique s’intéressent aux gros sous. Donc je vais arrêter de tourner autour du pot, et parler des vraies affaires.

Conduire un véhicule motorisé brûle 70 cents du kilomètre en frais d’utilisation, ce qui inclut la dépréciation, l’usure, l’essence, l’entretien et les assurances, selon l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Un déplacement à vélo ou à vélo électrique de 8,7 km le matin et le soir, cinq jours par semaine, donne environ 274 $ en économies par mois.

Maintenue six mois par année, cette habitude dégage 23 000 $ en économies par décennie, lorsqu’on calcule un rendement de 7 % sur nos placements.

Sur une carrière qui peut durer de 20 ans à 65 ans, prendre le vélo durant les beaux mois de l’année pourrait nous enrichir de 500 000 $. Et je n’inclus pas ici les bénéfices pour la santé.

Ce n’est qu’un début. Peut-être que la personne qui intègre des déplacements à vélo dans son quotidien pourra se passer d’une deuxième voiture. Ou choisir un véhicule d’occasion bon marché qui servira moins souvent.

Comme bien des véhicules sont financés (j’ai des sueurs froides juste à l’écrire), cette personne pourrait, suivant une estimation prudente, se passer d’un paiement de voiture de 500 $ par mois – selon J.D. Power Canada, le paiement mensuel moyen pour un véhicule neuf est de 880 $ actuellement.

Une somme de 500 $ par mois investie de l’âge de 20 ans à 65 ans donne 1,8 million si on estime un rendement annuel de 7 %.

Millionnaires, forts, et en santé, simplement à force de pédaler une partie de l’année.

Je ne peux imaginer renoncer à ça."

  Se déconnecter de la techno pour se reconnecter à l’humain Dans un monde où les algorithmes dirigent nos pensées, où la technologie faço...