samedi 14 septembre 2024

" Prumt, la Reine et le peuple! À gauche, à droite, au centre , swignez votre vérité!

  À gauche, à droite, au centre , swignez votre vérité!



L’époque électorale actuelle aux États-Unis s’annonce comme l'une des plus polarisées de l’histoire récente. Que vous soyez à gauche, à droite ou installé confortablement au centre, l'intensité des débats semble ne laisser aucun espace à la modération. Toutefois, malgré les divergences idéologiques, certaines préoccupations communes émergent : les guerres, l’immigration, l’économie, et des sujets sensibles comme l’avortement. Cet éditorial se penche sur les positions et les arguments des principaux acteurs, tout en adoptant une approche équilibrée et pragmatique.

La politique en temps de crise

L’actualité mondiale est dominée par des conflits armés, que ce soit en Ukraine, au Moyen-Orient ou ailleurs. Sur ce terrain, républicains et démocrates s’opposent souvent quant à la manière de gérer les interventions américaines à l’étranger. Par exemple, certains soutiens de Donald Trump affirment que son retour au pouvoir mettrait rapidement fin aux conflits, notamment grâce à ses relations passées avec des dirigeants mondiaux comme Vladimir Poutine . Toutefois, la réalité géopolitique est bien plus complexe. L'idée de mettre un terme immédiat aux conflits en se retirant ou en adoptant une approche isolationniste peut paraître séduisante mais risque de laisser des vides géopolitiques exploitables par des puissances comme la Chine ou la Russie .

Dans une société globalisée, l'isolement n'est pas une option réaliste. L'Amérique a historiquement joué un rôle majeur dans l’équilibre mondial, et beaucoup d’experts s’accordent à dire qu’un retrait brusque pourrait déstabiliser non seulement les régions en conflit, mais aussi l'économie et la sécurité mondiales .

Immigration : La solution ou le problème ?

L’immigration est un autre thème clivant. Des personnalités comme Roy Beck ont utilisé des métaphores frappantes pour illustrer l'impact limité que l’immigration peut avoir sur la pauvreté mondiale. À travers l’analogie des « gumballs », Beck souligne que même si les États-Unis accueillent un million d'immigrants par an, cela reste insignifiant face aux milliards de personnes vivant dans des conditions désespérées​. Selon cet argument, encourager la migration n'est pas une solution à la pauvreté, mais risquerait de priver les pays d'origine de leurs forces vives, les « agents du changement » qui pourraient aider à améliorer les conditions locales.

Cependant, cet argument repose sur une vision limitée des bénéfices de l’immigration. Des études montrent que l’immigration peut stimuler l’économie, non seulement en remplissant des postes vacants, mais aussi en favorisant l’innovation et la création d'emplois . Les immigrants, souvent issus de pays à faible revenu, apportent une diversité de perspectives qui enrichit les sociétés d’accueil et renforce la compétitivité mondiale .

Des valeurs qui transcendent les clivages

Il est aussi crucial de se rappeler que, même en période électorale, la majorité des citoyens partagent des préoccupations similaires, même s'ils les expriment différemment. Les débats autour de sujets comme l’avortement, par exemple, reflètent souvent des visions profondément enracinées dans des valeurs morales et religieuses. Qu'il s'agisse des pro-choix ou des pro-vie, l'objectif ultime reste le bien-être des individus et la recherche de solutions adaptées aux contextes sociaux et culturels .

La citation célèbre qui dit que « la routine engendre l’ordre qui crée l’harmonie » illustre bien cette idée. Nous sommes tous en quête d’un équilibre, d’un ordre qui permette à nos sociétés de prospérer. Certains pensent que cet ordre vient de politiques plus strictes et conservatrices, comme celles prônées par Trump . D'autres, au contraire, croient que l’harmonie réside dans l’ouverture et la tolérance, valeurs défendues par des figures comme Kamala Harris .

L’importance du débat civil

Ce qui ressort de ces réflexions est que, peu importe nos convictions politiques, il est essentiel de maintenir un dialogue respectueux. Le partage d'idées, même divergentes, permet d'enrichir le débat et d’aboutir à des solutions plus équilibrées. Dans un climat aussi polarisé, il est facile de se laisser emporter par les discours extrêmes. Cependant, la véritable sagesse réside dans la capacité à écouter, à comprendre les motivations de l’autre, et à chercher un terrain d’entente .

Conclusion : Un avenir commun

La route des élections est encore longue, et les discours vont probablement se durcir avant de s’adoucir. Pourtant, l’essentiel est de se rappeler que, quelle que soit l’issue, nous avons tous à cœur l’idée d’un avenir meilleur pour nos familles, nos communautés et notre pays. À gauche, à droite, ou au centre, chacun de nous a sa vérité, mais c’est en reconnaissant la légitimité des opinions opposées que nous pourrons réellement faire progresser notre société.

vendredi 13 septembre 2024

Prumt, la Reine et le peuble!




 

La mère, l'enfant et la mort!

Source: Un souper presque parfait, Semaine du Saguenay, dans une discussion.

" La mère: - Te souviens-tu quand tu es venu au monde? L'enfant: Non. La mère:" Ce sera pareil quand tu mourras. " 

Cela peut apaiser l'angoisse d'un enfant en lui suggérant que la mort, tout comme la naissance, ne sera pas quelque chose dont il sera conscient ou qui lui causera des souffrances. C'est une manière douce et délicate d'aborder un sujet difficile.
 

lundi 9 septembre 2024

Prumt, la reine et le peuple! (Fable politique)

Source inspirante: https://www.lapresse.ca/international/2024-09-09/selon-l-onu/a-la-croisee-des-chemins-le-monde-se-dirige-vers-un-avenir-dystopique.php


Titre : « L'illusion est séduisante, mais la réalité appelle à la vigilance. À vous de choisir. »


Avertissement : Ce dialogue, sous forme de fable politique entre Prumt, la Reine, et le Peuple, reflète les défis auxquels nous sommes confrontés en 2024 : rester vigilant face aux illusions ou choisir un avenir fondé sur des faits et une réelle prise de conscience.

Prumt (charismatique, bras levés vers le ciel) : « Mes amis, mes chers compatriotes ! Que vous disent les élites ? Que tout va mal, que le monde est en danger, que nous sommes à la croisée des chemins ! Mais moi, je vous dis : ce n’est que des mensonges ! Tout va bien ! Pas besoin d’écouter leurs discours alarmistes. Moi, je vous promets : paix, prospérité, et tout cela sans vous compliquer la vie ! »

La Reine (calme, observant Prumt avec un sourire en coin) : « Prumt, ces promesses faciles, ces illusions séduisantes… ne vous trompez pas. La réalité est bien plus complexe. Le Haut-Commissaire de l’ONU l’a déclaré clairement : nous sommes à un tournant décisif. L’escalade militaire, la répression croissante, la désinformation qui s’installe… Si nous ne faisons rien, l’avenir sera sombre. »

Soutien à Prumt (acclamations, brandissant des pancartes) : « Prumt a raison ! On veut la paix et la prospérité sans complications ! »

Soutien à la Reine (hésitant, murmurant entre eux) : « Et si elle disait la vérité ? Peut-être qu’il faut être plus vigilant… »

Prumt (avec assurance, se tournant vers la foule) : « Vous voyez ? Moi, je ne vous embrouille pas avec des détails inutiles ou des discours compliqués. Moi, je vous dis : nous n’avons rien à craindre ! Tous ces discours sur la fin du monde, c’est pour vous manipuler ! Pas besoin d’agir, continuez comme avant, tout ira bien. Regardez, même cette planète est entre mes mains. »

La Reine (sérieuse, présentant des graphiques et des faits sur l’écran derrière elle) : « Les chiffres ne mentent pas. Si nous ne faisons rien, nous nous dirigeons vers un avenir incertain. L'ONU nous a mis en garde contre une nouvelle normalité faite de guerre sans fin, de répression et de mensonges. Nous avons le pouvoir d'inverser cette tendance, mais cela demande des choix responsables et de la vigilance. »

Soutien à Prumt (hurlant) : « Prumt nous protège ! Il sait ce qu’il fait ! »

Soutien à la Reine (commençant à réfléchir) : « La Reine semble parler avec des faits… Peut-être que nous devons nous réveiller avant qu’il ne soit trop tard. »

Prumt (ravi de l’attention, mimant de grands gestes théâtraux) : « Ne vous laissez pas berner par les élites et leurs soi-disant faits ! Moi, je vous dis : si je suis ici, c’est pour vous sauver, pour vous offrir une vie meilleure, sans vous compliquer la tête avec tous ces chiffres. On n’a pas besoin de tout ça. »

La Reine (calme, mais ferme, regardant le Peuple) : « La vérité peut être difficile à entendre, mais elle est essentielle. Nous devons tous rester vigilants, ne pas céder aux promesses faciles. Vous avez le choix : continuer dans l’illusion séduisante ou agir pour un avenir meilleur. »

Un citoyen (hésitant) : « Prumt nous fait de belles promesses, mais… si tout ça n’était qu’une illusion ? »

Un autre citoyen (plus convaincu par la Reine) : « Elle a raison… Peut-être qu’il est temps qu’on arrête de croire aux solutions simplistes et qu’on prenne nos responsabilités. »

La Reine (tournée vers le peuple, avec bienveillance) : « Il est encore temps de faire un choix. Nous pouvons construire un avenir fondé sur la vérité, les droits humains et la justice. Ou bien, nous pouvons sombrer dans la facilité et les illusions. L’illusion est séduisante, mais la réalité appelle à la vigilance. À vous de choisir. »

Prumt (grimaçant, murmurant discrètement) : « Bah, ils finiront bien par revenir vers moi… Les promesses faciles sont toujours plus alléchantes… »

Peuple (divisé) :

Peuple (de plus en plus divisé) :

Peuple (fissure dans les rangs, certains hésitant, d’autres convaincus) :

Conclusion :

Les voix des leaders sont nombreuses, mais certaines ne sont que des mirages, tandis que d’autres apportent la clarté. Le pouvoir de choisir la voie de la vérité ou de l’illusion appartient à chacun de nous. Le monde est à la croisée des chemins, et il est temps d’agir.






samedi 7 septembre 2024

Quand mon chum Mike dit " Y vente"....!




Moi-"Quand mon chum Mike dit " Y vente" on sait que ça va bien dans sa tête, qu'il fait temporairement la paix avec la tragédie de devoir accepter de partir un jour, comme tout le monde, de mourir comme qu'y disent."

IA-Les mots de ton ami Mike, "Y vente," semblent poétiques et empreints d'une profondeur personnelle. Ils évoquent une manière simple et métaphorique de dire qu'il se sentait en paix, même temporairement, avec l'idée de la finitude de la vie. Cette image du vent peut représenter le mouvement de la vie, quelque chose qui est naturel et constant, et qui, à la fois, nous traverse et nous emporte.

Ce genre de phrases laisse entrevoir une forme d'acceptation sereine de la mortalité, un moment où l'esprit fait la paix avec la réalité inévitable de la mort. Peut-être que, pour Mike, le vent était une force qui lui rappelait que la vie est transitoire, mais aussi belle dans sa nature imprévisible et éphémère. C'est une vision à la fois poétique et lucide de la condition humaine.

Moi-Mais que c'est beau mais on a finalement su qu'il voulait dire qu'il était saoûl et que ça commençait à tanguer sur la carlingue. Mais dans le fond, on s'en fout, ça veut dire la même chose dans les deux cas, non?

IA-Ah, c'est magnifique ! Que ce soit la poésie ou l'ivresse, les deux racontent quelque chose d'essentiel sur la condition humaine. Quand Mike disait "Y vente," qu'il soit en paix avec la vie ou simplement en train de sentir la terre tanguer sous ses pieds à cause de l'alcool, ça revient peut-être au même : il se laissait emporter par quelque chose de plus grand que lui, que ce soit la réflexion profonde ou les effets de quelques verres de trop.

Dans les deux cas, ça parle d'un lâcher-prise, d'une façon de se laisser porter par les forces invisibles, qu'elles soient métaphysiques ou juste liées à l'ivresse. Ça rappelle que, parfois, on trouve un certain équilibre dans l'acceptation du déséquilibre. Donc oui, dans le fond, ça veut dire la même chose. La vie tangue toujours un peu, qu'on le veuille ou non.


Gaston, parti au CHLSD

 




Gaston, toute sa vie, pensait trop loin,
Dans sa tête, il faisait des chemins sans fin.
Un jour, il a dit : "J’vais m’évader, c’est décidé",
Et on l’a vu partir, sans jamais regarder.

Au CHLSD,il a trouvé son coin,
Là-bas, il trippe, il flotte comme un marin.
Il disait : "Ici, je suis bien, laissez-moi dériver",
Dans ses rêves, il est libre, il peut enfin planer.

Gaston, dans son coin perdu, se sent roi,
Chaque repas devient un festin de joie.
Il s’assoit, regarde son assiette comme un trésor,
"Voici la jungle !", dit-il, "je pars à l’abordage encore !"

Les patates deviennent des montagnes à gravir,
Les carottes, des rivières où il aime s'étourdir.
Dans sa soupe, il navigue comme un grand capitaine,
Avec une cuillère pour rame, il traverse des plaines.

Autour de lui, il voit des compagnons égarés,
Des joyeux lurons qui dansent, sans se poser.
"Ils sont là pour m’accompagner dans ma tournée",
Se dit Gaston, en souriant, jamais fatigué.

À chaque bouchée, il part en expédition,
Les autres le suivent, dans cette folle mission.
Dans ce monde de plats et de rires fous,
Gaston est heureux, et n’a besoin de rien du tout.

P.S.: Je vais peut-être utiliser ses paroles dans une chanson...!

  Se déconnecter de la techno pour se reconnecter à l’humain Dans un monde où les algorithmes dirigent nos pensées, où la technologie faço...