samedi 6 avril 2024

La paix n'est pas juste un mot!

" La paix, ce n'est pas juste un mot. Ça part de nous autres, dans le choix de nos paroles, les petites actions du quotidien et notre façon de voir toutes les personnes que nous croisons comme d'autres êtres humains. »

Dans un monde où les clivages semblent se creuser de jour en jour, où les confrontations et les incompréhensions dominent souvent les gros titres, il est impératif de se rappeler d'une vérité fondamentale : la paix commence en nous. Cette idée, loin d'être naïve, repose sur le principe intemporel et universel d'aimer et de traiter les autres comme nous aimerions être traités. Un principe simple en théorie, mais dont la mise en pratique s'avère être un défi constant dans nos interactions quotidiennes, que ce soit dans l'arène politique, sur notre lieu de travail, au sein de notre famille, ou dans nos cercles d'amis et de connaissances. 

mercredi 3 avril 2024

Nul besoin d'être un expert pour reconnaitre le visage de la paix.

La paix est quelque chose de reconnaissable et d'universellement compréhensible, même pour ceux qui ne sont pas des experts dans le domaine. Le visage de la paix rassemble les individus et les communautés au-delà des différences et des conflits, et favorise l'harmonie, la coopération et la solidarité entre les personnes. Sans pointer du doigt qui ou quoi que ce soit aux États-Unis qui est devenue une grande nation divisée, admettons que la paix et l'unité nécessitent un effort conscient de dialogue, de compréhension mutuelle, et de recherche de compromis cherchant à unir plutôt qu'à diviser et la volonté de collaborer pour le bien commun pour construire un sentiment d'unité nationale. Actuellement, ce projet est saboté chez nos amis et voisins au sud de la frontière canadienne, car aucun des deux partis n'agit dans cette direction en attisant les divisions au sein de la société en général, lesquelles sont profondes et souvent exacerbées par divers facteurs, notamment les médias, les plateformes de réseaux sociaux, et les discours politiques polarisants. Ces divisions ont rendu difficile la réalisation d'un dialogue constructif et la recherche de compromis, qui sont pourtant essentiels à la construction de la paix et à la réconciliation nationale. Si rien n'est fait pour construire des ponts, la paix s'effondrera rapidement comme le pont de Baltimore.
 

À travers la science, il y a toute une poésie de mots qui raisonnent et qui éclatent.


 

La science et la poésie semblent souvent opposées : l'une cherche à expliquer le monde de manière rationnelle et l'autre l'exprime avec émotion et subjectivité. Pourtant, elles se rejoignent dans leur capacité à éveiller notre émerveillement et notre curiosité. Les mots de la science, avec leurs racines souvent latines ou grecques, leurs sonorités particulières et leurs significations profondes, peuvent résonner avec une certaine musicalité, une poésie propre qui séduit l'esprit autant que l'âme.

Quand un scientifique parle des « constellations », des "nebulae" (nébuleuses), de "quasars" ou de « bosons de Higgs», il y a une musique dans ces termes, une invitation au voyage qui dépasse le cadre strict de leur définition technique. La science nous parle de l'univers, de la vie, de la matière et du temps avec des mots qui peuvent éclater dans notre esprit comme des images poétiques, nous invitant à regarder au-delà de notre quotidien, à rêver et à questionner.

Les poètes ont souvent puisé dans le vocabulaire scientifique pour enrichir leurs textes, trouvant dans l'exactitude des termes une source d'inspiration inattendue. De même, certains scientifiques ont une manière d'écrire et de parler de leurs découvertes qui rappelle les poètes, en cherchant à capturer l'essence de leurs sujets d'étude d'une manière qui touche, qui inspire, qui éveille une résonance émotionnelle chez celui qui écoute ou lit.

À travers la science, il y a donc une poésie non seulement de mots, mais d'idées, d'hypothèses et de découvertes, une poésie qui célèbre la beauté et la complexité du monde, et qui, par sa précision et son étrangeté, enrichit notre perception et notre appréciation de la réalité.


lundi 1 avril 2024

Notre dette publique se porte bien et ce n'est pas un poisson d'avril.




Sourcehttps://mailchi.mp/ledevoir.com/le-courrier-de-lconomie-1er-avril-2024?e=678fcbb6ec

Le 1er avril 2024, alors que le Canada célèbre le lundi de Pâques, une analyse économique perspicace vient bousculer notre perception habituelle de la dette et de la santé financière du pays. Cet examen, articulé par Éric Desrosiers, Clémence Pavic, et Baptiste Barbel, nous plonge au cœur de la situation économique canadienne, en posant des questions essentielles sur le niveau d'endettement du Canada par rapport à d'autres pays, et spécifiquement dans le contexte du G7.

Les Points Positifs : Un Bilan Encourageant

Une Dette Moins Élevée au Sein du G7

Le Canada se démarque favorablement par rapport à ses pairs du G7, affichant une dette brute et nette inférieure à celle de la plupart, exception faite de l'Allemagne. Cette situation financière avantageuse positionne le Canada comme un pays résilient, prêt à faire face aux défis économiques futurs, y compris les changements de long terme.

Viabilité à Long Terme de la Dette

L'analyse du directeur parlementaire du budget est rassurante : la dette canadienne est gérable sur le long terme. Cette viabilité signifie que le Canada peut poursuivre ses investissements dans le développement socio-économique sans compromettre sa santé financière.

Marges de Manœuvre Gouvernementales

Une capacité d'ajustement fiscal existe, permettant au gouvernement fédéral et au Québec en particulier, d'augmenter les dépenses ou de réduire les impôts tout en gardant une dette nette stable et raisonnable.

Les Points Négatifs : Des Défis Persistants

Une Dette Élevée Malgré Tout

Bien que le Canada soit mieux loti que ses homologues du G7, le niveau de dette reste significatif. Les obligations financières continuent de peser sur les ressources, restreignant ainsi la capacité d'allocation vers d'autres priorités.

Les Risques à Long Terme

Des facteurs comme le vieillissement de la population, l'augmentation des coûts de santé, et une croissance économique modérée pourraient augmenter la pression sur les finances publiques. Il est crucial de planifier à long terme pour maintenir la soutenabilité de la dette.

Incertitudes Climatiques

Les changements climatiques représentent un risque non négligeable pour l'économie. Le gouvernement se doit de prendre en compte cet aspect pour préserver la stabilité financière du pays.

Focus Québec : Une Position Enviable

Le Québec, en particulier, bénéficie d'une marge budgétaire supérieure à celle de nombreuses autres provinces, offrant la perspective d'une dette nette potentiellement négative à l'avenir. Toutefois, il est confronté aux mêmes défis démographiques et environnementaux que le reste du pays.

Conclusion

Le panorama financier du Canada et du Québec présente un équilibre entre forces et faiblesses. La gestion prudente de la dette et la viabilité à long terme sont des atouts indéniables. Cependant, les défis demeurent notamment en termes de charges financières et de risques futurs. L'adaptabilité et la vigilance seront cruciales pour maintenir cette position avantageuse. En somme, l'économie canadienne se porte bien, et cela n'est certainement pas un poisson d'avril.

vendredi 29 mars 2024

Cé tu quoi, une grande vérité c’est que tu meurs avec tes idées!



Cette phrase, "une grande vérité c’est que tu meurs avec tes idées", souligne une réflexion profonde sur la nature persistante des convictions et des idées personnelles jusqu'à la fin de la vie. Elle met en lumière plusieurs dimensions importantes de l'expérience humaine :

  • L'Individualité et l'Intégrité: Cette phrase met en avant l'idée que chaque personne est unique dans ses convictions, ses pensées, et ses idéologies. Ces idées façonnent non seulement la manière dont nous vivons notre vie mais aussi la manière dont nous l'interprétons et la comprenons. Elles sont le reflet de notre intégrité et de notre authenticité.

  • La Persistance des Convictions: Elle suggère également que, malgré les changements et les défis auxquels nous sommes confrontés tout au long de notre vie, il y a certaines convictions et idées qui restent avec nous jusqu'à la fin. Ces idées peuvent être liées à nos valeurs fondamentales, à notre sens de la morale, ou à notre compréhension du monde.

  • L'Héritage Intellectuel et Moral: La phrase peut aussi être interprétée comme un commentaire sur l'héritage que nous laissons derrière nous. Nos idées et convictions peuvent influencer ceux qui nous entourent et perdurer au-delà de notre existence physique, à travers les actions que nous avons entreprises et les paroles que nous avons prononcées.

  • La Mort et l'Identité: Enfin, cette réflexion aborde indirectement la question de l'identité face à la mort. Elle propose que ce qui survit de nous, ce sont nos idées et nos valeurs, soulignant ainsi l'importance de vivre une vie alignée avec ce que nous croyons être juste et vrai.

Cette affirmation peut servir de rappel puissant de la valeur de l'introspection, de l'authenticité, et de l'engagement envers nos convictions, même face à l'inéluctabilité de la fin. Elle nous incite à réfléchir sur ce qui compte réellement pour nous et sur l'empreinte que nous souhaitons laisser dans le monde.


lundi 25 mars 2024

Continuer à construire un ¨monstre politique" ou œuvrer pour un "avenir collectif durable"?

 


Dans un monde où les flux d'informations ne cessent de croître et où les médias sociaux façonnent nos perceptions, la figure du « monstre politique » est devenue une réalité incontournable. Cette entité, amplifiée par des accusations, des enquêtes et une couverture médiatique incessante, occupe une place prépondérante dans notre espace public et politique. Pourtant, cette focalisation sur une personnalité dominante, souvent à travers le prisme de la polarisation et de la controverse, soulève une question fondamentale : sommes-nous condamnés à alimenter ce monstre politique ou pouvons-nous choisir un avenir collectif plus durable et constructif ?

La construction médiatique et politique de figures polarisantes n'est pas un phénomène nouveau, mais elle a atteint des proportions sans précédent dans l'ère actuelle. La médiatisation autour de figures comme Donald Trump, par exemple, montre comment les actions des partis politiques, couplées à une couverture médiatique vorace, peuvent créer un cycle auto-entretenu qui focalise l'attention nationale et mondiale. Cet état de fait pose une interrogation cruciale : à qui profite réellement cette situation ?

À court terme, il semble que les médias et les politiciens eux-mêmes tirent le plus de bénéfices de cette focalisation. Les médias profitent de l'engagement et de l'attention générés par la controverse pour augmenter leur audience et leurs revenus publicitaires, tandis que les politiciens utilisent cette attention pour galvaniser leur base ou mobiliser l'opposition. À moyen terme, cependant, cette dynamique peut également servir les intérêts de groupes d'intérêt spécifiques ou de parties de la société civile, en utilisant la figure polarisante comme catalyseur pour avancer des agendas particuliers.

Mais, à long terme, les conséquences de cette obsession collective peuvent être nettement plus néfastes. En réduisant la politique à une lutte contre des « monstres », nous risquons de négliger les véritables enjeux de notre époque et de compromettre l'avenir collectif durable que nous espérons tous. La polarisation accrue, l'érosion de la confiance dans les institutions démocratiques et la marginalisation des voix modérées sont autant de symptômes d'une société captivée par la figure du monstre politique.

Face à ce constat, une prise de conscience s'impose. Notre temps, notre attention et nos ressources sont trop précieux et éphémères. Ils ne devraient pas être gaspillés à alimenter les flammes de la division, mais plutôt investis dans la construction d'un avenir plus prometteur. Cela exige de nous, citoyens, médias et politiciens, de transcender les récits simplistes et de nous engager dans des débats plus nuancés et constructifs. Il est temps de reconnaître que la responsabilité de notre avenir collectif repose sur nos épaules à tous.

En conclusion, le choix entre continuer d'entretenir le « monstre politique » ou œuvrer pour un « avenir collectif durable» est entre nos mains. Il est impératif de privilégier la seconde option, car seule une démarche collective et inclusive peut nous guider vers un avenir où la prospérité est partagée et les défis globaux sont relevés avec sagesse et persévérance. Le moment est venu de repenser notre approche de la politique et de l'engagement civique, en favorisant l'unité, le dialogue et la recherche de solutions durables pour tous.


Amour ou division en héritage?



 « La politique doit être une toile de fond à notre vie, pas l'essence même de notre être. Elle est là pour être débattue, pour inspirer le changement, mais elle ne doit jamais nous diviser au point de briser les liens qui nous unissent. Ce n'est pas la terre qui tourne autour de la politique même si certains politiciens s'efforcent de nous faire croire le contraire.



« Les opinions politiques, religieuses ou autres ne sont que des pensées passagères dans l'éternité de notre univers. Ce qui reste, ce qui compte vraiment, c'est l'amour que nous partageons, les moments que nous vivons ensemble. »

Nous avons tous une vie à vivre pleinement en dehors de la politique!




  Se déconnecter de la techno pour se reconnecter à l’humain Dans un monde où les algorithmes dirigent nos pensées, où la technologie faço...