dimanche 10 mars 2024

Qui peut bien se "trumper" encore sur mes intentions?



Dans une démocratie, le pouvoir émane du peuple. Les élus sont temporaires et remplaçables, servant par la volonté de ceux qu'ils représentent, et non l'inverse. Cela rappelle l'importance de la responsabilité, de la transparence, et de l'engagement civique dans le maintien et le renforcement des sociétés démocratiques.

Trompe, lui, veut que les électeurs lui soient loyaux. C'est l'image typique de celui qui aspire à devenir le premier dictateur à la tête des États-Unis d'Amérique. Ne vous y " trumper" surtout pas!

https://x.com/RpsAgainstTrump/status/1766503821180641577?s=20

samedi 9 mars 2024

"Troisième Candidat aux USA : Un Coup de Poker Politique Favorisant Trump?"


Source: Cliquez sur le lien pour accéder à l'article cité comme source de ce blogue.

 https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2024-03-08/un-troisieme-candidat-pourrait-destabiliser-la-campagne-de-joe-biden.php

Dans le paysage politique américain déjà dynamique, l'annonce par "No Labels", une organisation se décrivant comme un « mouvement national d'Américains de bon sens», de son intention de présenter un candidat indépendant pour l'élection présidentielle de novembre, capte l'attention et suscite de vives discussions. Cette décision, selon certains démocrates, pourrait diviser leur base d'électeurs et, par conséquent, jouer indirectement en faveur de Donald Trump.

L'Effet Potentiel sur le Bipartisme

Le système politique américain, profondément ancré dans le bipartisme, se trouve ainsi confronté à un potentiel bouleversement. "No Labels" n'a pas encore annoncé de candidat spécifique, malgré les spéculations et le retrait de plusieurs politiciens initialement liés au mouvement. Cette stratégie d'anticipation crée une atmosphère d'incertitude et de spéculation quant à l'identité du candidat et à l'impact de sa candidature sur l'élection.

Une Nouvelle Option pour les Indécis

Pour les électeurs mécontents de devoir choisir entre Joe Biden et Donald Trump, "No Labels" propose une alternative séduisante. Le mouvement, fondé en 2009 par Nancy Jacobson, vise à transcender la division gauche-droite traditionnelle, en se positionnant fermement « En avant ». Cette approche pourrait particulièrement résonner auprès des électeurs en quête d'un changement, lassés de la polarisation actuelle.

La Réaction Démocrate

Les démocrates expriment en privé leur inquiétude face à cette évolution, craignant que "No Labels" n'attire les électeurs indécis ou modérés qui auraient autrement soutenu Biden. Cette crainte repose sur l'hypothèse que toute voix détournée de Biden pourrait, dans un scénario de vote serré, favoriser Trump. La déclaration de Mike Rawlings, chef de file de "No Labels", et les sentiments exprimés lors de réunions virtuelles avec les membres soulignent un désir profond de rassembler une nation divisée, offrant aux Américains « un autre choix».

Une Dynamique Électorale Modifiée

L'initiative de "No Labels" illustre la complexité de la dynamique électorale aux États-Unis. L'effet potentiel d'un candidat tiers sur le résultat de l'élection met en lumière les limites et les défis du système bipartite, poussant à une réflexion sur la nécessité de réformes pour accommoder un pluralisme politique plus large.

Conclusion

Alors que "No Labels" poursuit son processus de sélection d'un candidat, les répercussions de sa candidature sur l'élection présidentielle restent incertaines. Ce mouvement met en évidence une soif de diversité politique et le désir d'options au-delà du choix binaire traditionnel. Peu importe l'issue, la présence de "No Labels" dans la course présidentielle de 2024 est un témoignage vivant du paysage politique américain en évolution et du désir croissant d'alternatives politiques viables.

lundi 4 mars 2024

Trump Sera Jugé par le Peuple Américain le 5 Novembre 2024


Source: https://www.usnews.com/news/national-news/articles/2024-03-04/supreme-court-trump-can-stay-on-presidential-ballot-in-colorado

La décision récente de la Cour suprême des États-Unis concernant l'éligibilité de l'ancien président Donald Trump à participer à l'élection présidentielle de 2024, malgré les allégations de son implication dans l'insurrection du Capitole du 6 janvier 2021, a marqué un tournant significatif dans la course vers la Maison Blanche. En rejetant l'argument selon lequel Trump devrait être disqualifié en vertu de la clause d'insurrection de la Constitution, la Cour suprême a déclaré de façon unanime que cette responsabilité n'incombe pas aux États, mais au Congrès. Mais au-delà des aspects juridiques et constitutionnels, cette décision souligne un principe fondamental de la démocratie américaine : c'est au peuple de décider.

Une Question de Démocratie

Le jugement soulève une question centrale : qui est apte à diriger ? En déclarant que les États n'ont pas le pouvoir d'appliquer la clause d'insurrection pour disqualifier un candidat à une fonction fédérale, la Cour a renforcé l'idée que ces décisions devraient reposer entre les mains des électeurs, via le processus électoral. Ce faisant, la Cour suprême réitère la foi en la démocratie américaine et dans le droit inaliénable du peuple américain de choisir ses dirigeants.

Trump sur la Scène Électorale

Avec cette décision, l'ancien président Trump est libre de poursuivre sa campagne pour l'élection de 2024 sans la menace immédiate d'être disqualifié sur la base de la clause d'insurrection. Cela signifie que Trump peut continuer à participer aux primaires, organiser des rassemblements et, en fin de compte, concourir pour la présidence le 5 novembre 2024. Cette réalité met en évidence non seulement la force de la candidature de Trump, mais aussi la robustesse du système électoral américain, qui permet une telle compétition même face à des controverses sans précédent.

Le Poids de la Décision Repose sur les Électeurs

La décision de la Cour suprême renvoie la balle dans le camp des électeurs américains. Le 5 novembre 2024, ce sera à eux de juger si Donald Trump est apte à reprendre ses fonctions de président. Ce jour-là, chaque vote sera une voix dans un débat national sur les valeurs, les principes et la direction future du pays. Les électeurs auront l'occasion de réfléchir non seulement aux réalisations et aux échecs de Trump comme président, mais aussi à sa conduite et à son caractère.

La Démocratie en Action

Cette situation illustre la démocratie en action, où malgré les profondes divisions et les vifs débats, le processus électoral reste le mécanisme ultime de résolution. Cela souligne également l'importance de la participation électorale et de l'engagement civique. Chaque électeur a un rôle crucial à jouer dans la détermination de l'avenir de la nation, une responsabilité qui ne doit pas être prise à la légère.

En Avant Vers 2024

Alors que nous nous dirigeons vers le 5 novembre 2024, les mois à venir seront sans doute marqués par des campagnes intenses, des débats animés et une analyse approfondie des candidats et de leurs politiques. La décision de la Cour suprême a ouvert la porte à une élection qui sera, dans tous les sens du terme, un jugement rendu par le peuple américain. C'est une occasion pour les électeurs de réaffirmer leurs convictions, de défendre leurs principes et de choisir la voie qu'ils souhaitent que leur pays emprunte.

Dans cette élection, chaque voix comptera, chaque vote sera un testament de la volonté du peuple. Le 5 novembre 2024, le peuple américain aura l'ultime mot, non seulement sur la candidature de Donald Trump, mais aussi sur les valeurs et les idéaux qu'ils souhaitent voir incarner dans leur président. C'est la beauté et la charge de la démocratie américaine.

samedi 2 mars 2024

Désordre et Réveil : Vers un Grand Réveil Démocratique aux États-Unis

Le Désordre Actuel : Un Signe avant-coureur de Changement ?

Les dernières années ont été témoins d'une intensification des tensions politiques aux États-Unis, culminant avec des événements sans précédent qui ont testé les limites de la démocratie américaine. De l'insurrection du 6 janvier à la polarisation exacerbée par les réseaux sociaux, le tableau semble sombre. Cependant, l'histoire nous enseigne que c'est souvent dans les périodes de plus grand tumulte que les sociétés trouvent les ressources pour se réinventer.

Le Réveil de l'Engagement Citoyen

Un aspect positif de cette période troublée est le réveil de l'engagement citoyen. Des mouvements sociaux aux campagnes de sensibilisation en ligne, les Américains de tous bords politiques se mobilisent pour défendre leurs convictions. Cette recrudescence de l'activisme peut être vue comme le fondement d'une démocratie plus participative et engagée.

La Redéfinition de la Démocratie

Le grand désordre actuel force également une introspection et une redéfinition de ce que signifie être une démocratie au XXIe siècle. Les défis auxquels nous sommes confrontés — désinformation, inégalités, crises environnementales — nécessitent de nouvelles réponses et peut-être même de nouveaux systèmes de gouvernance qui reflètent mieux les réalités contemporaines.

Un Moment de Réflexion Nationale

Ce moment de turbulence offre une opportunité unique de réflexion nationale. Il incite à questionner les valeurs fondamentales qui unissent les Américains et à envisager comment ces valeurs peuvent être renouvelées et renforcées. C'est une chance de repenser les institutions démocratiques pour les rendre plus résilientes face aux défis futurs.

La Résilience de la Démocratie Américaine

Malgré les crises, la démocratie américaine a montré une remarquable résilience. Les institutions ont résisté à des pressions sans précédent, et le système de checks and balances a fonctionné, bien que mis à rude épreuve. Ce constat offre un espoir : celui d'une démocratie capable de se régénérer et de s'adapter.

Vers un Nouvel Élan Démocratique

Imaginez un futur où le grand désordre actuel aura été le catalyseur d'un renouveau démocratique, où les leçons tirées des épreuves récentes auront conduit à une démocratie plus forte, plus inclusive et plus dynamique. C'est une vision ambitieuse, mais pas hors de portée. Pour y parvenir, il faudra de la détermination, de l'innovation et un engagement collectif envers le bien commun.




 

vendredi 1 mars 2024

Doris Lussier ... Le Père Gédéon ( Mourir )


Mourir

Il m'apparaît impossible que la vie humaine, une fois commencée, se termine bêtement; et que l'âme, comme une splendeur éphémère, sombre dans le néant, après avoir inutilement été le lieu spirituel de si riches expériences et de si douces affections. Pour moi, mourir ce n'est pas finir, mais continuer autrement. Un être humain qui s'éteint, ce n'est pas un mortel qui finit, mais un immortel qui commence. La tombe est un berceau. La mort n'est pas une chute dans le vide, mais une montée dans la lumière. Quand on a la vie, ce ne peut être que pour toujours. Mourir, c'est aussi beau que naître. Est-ce que le soleil couchant n'est pas aussi beau que le soleil levant ? Si naître est une façon douloureuse d'accéder à la vie, mourir ne serait-il pas une façon douloureuse de devenir heureux ?*


Doris Lussier (dit le Père Gédéon), (né Pierre Dorice René Lussier le , décédé le  à l'âge de 75 ans) est un écrivain et un humoriste originaire de Fontainebleau (fusionné avec Weedon en 1997), en Estrie, au Québec.

Il est né sur une ferme, fils de Donat Lussier, journalier, et de Rose-de-Lima Picard 1. Son père meurt le 19 février 1922 2 alors qu'il n'a pas encore quatre ans. Il en a six au remariage de sa mère le 11 juin 1925 à Stratford-Centre où elle épouse Elzéar Perreault, cultivateur 3, et la famille se retrouve à Lambton, en Estrie. Après l'école de rang, il fera son cours classique comme pensionnaire au Séminaire de Québec. Il choisit ensuite la voie des sciences sociales à l'École des sciences sociales de l'Université Laval. L'École est sous la gouverne de son célèbre fondateur, le père dominicain Georges-Henri Lévesque, qui sera son mentor. Après ses études, Lussier devient professeur de sciences politiques. Il sera aussi le secrétaire personnel du doyen pendant 12 ans.

En 1940, il avait pris parti en faveur du maréchal Pétain et du régime de Vichy, contre l'avis du cardinal Villeneuve.[réf. nécessaire]

Il crée, un peu pour rire, son personnage de vieux paysan prénommé Gédéon en 1953. L'auteur Roger Lemelin, un ami, décide d'intégrer ce personnage à sa fameuse série télévisée La famille Plouffe. Le baptême en ondes du père Gédéon aura lieu le 2 décembre 1954.

Outre son côté artistique, Doris Lussier s'est fait connaître par son implication dans le mouvement souverainiste du Parti québécois dans les années 1970 et 1980, auprès de René Lévesque. C'est d'ailleurs lui qui le présente à la foule lors de la première prise de pouvoir du Parti québécois en 1976.

Il meurt à l'hôpital Notre-Dame de Montréal, le 28 octobre 1993, des suites d'un cancer généralisé.

mercredi 28 février 2024

Impunité et Dictature : Le Danger de Placer les Politiciens au-dessus de la Loi

 




Source: https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2024-02-28/la-cour-supreme-se-penchera-sur-la-question-de-l-immunite-penale-de-donald-trump.php

Dans les annales de l'histoire politique, la démocratie se distingue comme un phare de liberté, guidant les nations à travers les eaux tumultueuses de l'oppression et de l'autoritarisme. Au cœur de la démocratie réside le principe sacré de l'égalité devant la loi : un principe selon lequel chaque citoyen, des plus humbles aux plus puissants, est soumis aux mêmes lois et règlements. Cependant, lorsque les politiciens sont placés au-dessus de ces lois, nous nous aventurons dangereusement près du précipice menant à une dictature, même au sein des nations qui se considèrent comme démocratiques.

L'Impunité : Un Terreau pour la Dictature

L'impunité accordée aux politiciens crée un environnement où les abus de pouvoir ne sont pas seulement possibles, mais deviennent monnaie courante. Lorsque les dirigeants savent qu'ils peuvent agir sans crainte de répercussions, les fondations mêmes de la justice et de l'équité sont ébranlées. Les exemples historiques abondent, des régimes autoritaires du 20e siècle à certains gouvernements contemporains, où les dirigeants ont utilisé leur position pour échapper à la justice, sapant ainsi la confiance du public dans les institutions démocratiques.

La Responsabilité : Pilier de la Démocratie

La démocratie repose sur plusieurs piliers, dont l'un des plus importants est la responsabilité. Un système judiciaire indépendant et des mécanismes de contrôle efficaces sont essentiels pour garantir que personne, y compris les politiciens, n'est au-dessus de la loi. La responsabilité assure que les dirigeants servent l'intérêt public et non leurs propres ambitions ou leurs intérêts. Sans responsabilité, la corruption et l'abus de pouvoir prolifèrent, entraînant une érosion de la confiance publique et un affaiblissement des institutions démocratiques.

La Voie vers la Dictature

Le danger de permettre l'impunité des politiciens ne réside pas seulement dans les abus immédiats de pouvoir, mais également dans la transition insidieuse vers des formes de gouvernement plus autoritaires. L'histoire nous montre que la dictature ne s'instaure pas du jour au lendemain ; elle prend racine dans la décomposition graduelle des principes démocratiques, souvent sous le masque de la protection de la nation ou de la réalisation de grands projets nationaux. Lorsque les dirigeants sont exemptés de respecter la loi, cela signale un déclin de la démocratie et un pas vers l'autoritarisme.

Maintenir la Flamme de la Démocratie

Face à ces défis, il est impératif pour les citoyens de rester vigilants et engagés dans la défense de la démocratie. Cela implique de soutenir un système judiciaire indépendant, de promouvoir la transparence et la responsabilité dans la gouvernance, et de participer activement au processus démocratique. Les médias libres et une société civile robuste jouent également un rôle crucial dans la surveillance des actions des politiciens et dans la garantie de leur responsabilité.

Conclusion

Placer les politiciens au-dessus de la loi n'est pas seulement une menace pour l'ordre juridique ; c'est une menace pour la démocratie elle-même. Alors que nous naviguons dans le 21e siècle, confrontés à des défis complexes et interconnectés, le principe de l'égalité devant la loi doit rester inébranlable. Seule une vigilance constante et un engagement civique peuvent préserver la démocratie de la dérive vers la dictature. En tant que citoyens, notre rôle n'est pas seulement de protéger nos droits mais aussi de défendre les fondements même sur lesquels repose notre liberté.

Les clics ou l'éthique?

 


Source: Journaliste: Patrick Lagacé, La Presse.

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2024-02-24/avocates-ou-influenceuses.php

Dans une époque où les réseaux sociaux façonnent notre perception du monde et notre interaction avec lui, la question des priorités entre la quête de visibilité en ligne (les clics) et l'adhérence à des principes éthiques solides devient de plus en plus pressante. Cette réflexion nous amène à explorer comment les valeurs traditionnelles telles que la responsabilité, l'intégrité et le service public s'adaptent ou se confrontent aux impératifs de la société numérique.

L'Évolution de la Famille et la Notion de Responsabilité

Historiquement, l'idéal d'agir « en bon père de famille» symbolisait la prudence, la responsabilité et la modération. Cet adage, bien que semblant désuet, porte en lui l'essence de ce qui fait une société stable et pérenne : le souci du bien-être collectif et la prise de décisions dans l'intérêt des générations futures. Toutefois, les mutations sociales et familiales ont complexifié l'application de cette maxime. La question se pose alors : comment ces valeurs de responsabilité et de prudence se traduisent-elles dans notre ère numérique ?

La Politique à l'Ère des Médias Sociaux

La politique, domaine par excellence du service public, offre un terrain d'observation privilégié des tensions entre visibilité et éthique. L'intention première de servir l'intérêt général semble parfois éclipsée par la course à l'attention et à la popularité en ligne. Cette évolution n'est pas sans conséquences sur la qualité du débat public et sur la confiance des citoyens envers leurs représentants. Pourtant, l'engagement authentique pour le bien commun et la recherche de solutions durables demeurent la pierre angulaire d'une gouvernance éthique et efficace.

Le Monde Juridique Face aux Défis des Nouveaux Médias

Le secteur juridique n'est pas épargné par cette révolution numérique. L'exemple d'avocats cherchant à gagner en visibilité par des moyens controversés sur les réseaux sociaux soulève des questions éthiques importantes. La quête de reconnaissance en ligne ne doit pas faire oublier l'importance de l'excellence professionnelle, de l'intégrité et du respect des parties impliquées dans des affaires juridiques, notamment les victimes et leurs familles. La déontologie professionnelle doit guider les actions des avocats, bien au-delà de la simple accumulation de clics.

Vers un Équilibre entre Visibilité et Éthique

La solution à ces dilemmes contemporains réside peut-être dans un retour aux fondamentaux. Il s'agit de réaffirmer l'importance de valeurs telles que l'intégrité, la responsabilité et le service au public, tout en reconnaissant le rôle incontournable que jouent aujourd'hui les réseaux sociaux dans notre communication. L'éducation au discernement critique, le renforcement de l'empathie, la responsabilité individuelle et collective, ainsi que l'adhésion à des principes éthiques universels, sont autant de pistes pour naviguer avec sagesse dans l'ère numérique.

En définitive, « Les clics ou l'éthique" ne devrait pas être un choix binaire, mais plutôt un appel à intégrer intelligemment les outils numériques dans notre quête d'une société équitable et respectueuse. Cela implique de reconnaître et de valoriser les actions qui, bien que moins visibles, contribuent de manière significative au bien-être collectif et à la préservation de nos valeurs communes.

  Se déconnecter de la techno pour se reconnecter à l’humain Dans un monde où les algorithmes dirigent nos pensées, où la technologie faço...